mercredi 31 décembre 2014

A deux pas de 2015...

Je vous souhaite à tous de très belles fêtes, vacances, rencontres, tendresses, amours, méditations ou résolutions pour cette année nouvelle qui pointe le nez.

Comme chacun sait, depuis l'édition de ce billet en janvier 2012 sur ce blog, beaucoup de choses ont changé (ou peut-être pas) dans notre vie. Alors, durant ce cœur de l’hiver et en attendant le retour du printemps, tournons donc joyeusement le dos à tout pour nous regarder en face et en lisant ce texte de Pablo Neruda...

Ne te prive pas d’être heureux...

Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.

Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu

Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés

Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant !
Risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !


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mercredi 17 décembre 2014

Envie...

C'est terrible quand l'envie nous prend ! Pour mon quatre heures, j'avais envie de manger un gâteau comme celui-ci. Envie de manger deux ou trois parts, suivant mon appétit que je sentais dévorant, mais nos envies ne sont pas toujours satisfaites comme on voudrait. Alors, ça sera pour la prochaine fois, je l'espère. Vous ne le savez sûrement pas, je suis gourmand de...

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Splendeurs des Han - Essor de l'empire Céleste : Exposition au musée Guimet

Splendeurs des Han - Essor de l'empire Céleste : Exposition au musée Guimet jusqu'au 1er mars 2015...
Exposition présentée dans le cadre de la commémoration du 50e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la République française et la République populaire de Chine.

Après le règne de « l’auguste Empereur » Qin Shi Huangdi (221-207 av. J.-C.), les souverains de la dynastie Han (-206 av. J.-C. / 220 ap. J.-C.) trouvent les bases d’un empire unifié.

Pendant près de quatre siècles, ils l’affermiront et élargiront un territoire allant des confins de la steppe au nord de la péninsule indochinoise en s’appuyant sur une administration hiérarchisée, une économie agricole et une diplomatie favorisant les alliances lointaines et les échanges, notamment par la route de la soie.

Depuis près de quarante ans, les découvertes de premier ordre, révélant la richesse de l’art et de la culture de l’époque des Han n’ont cessé de se multiplier, renouvelant sans cesse l’archéologie chinoise. Ces œuvres, appartenant principalement à la sphère funéraire évoquent l’art de vivre aristocratique aussi bien que les activités quotidiennes ; elles sont d’un humanisme saisissant et témoignent aussi des conceptions de l’au-delà prévalant durant ces quatre siècles. Il s’ouvre sur un espace mythologique foisonnant, séjour des immortels.

Crédits Affiche de l'exposition Splendeurs des Han - Essor de l'empire Céleste

Grâce au prêt exceptionnel d’œuvres majeures provenant des musées de nombreuses provinces chinoises et à la présentation de découvertes archéologiques inédites, le musée national des arts asiatiques ― Guimet présentera au public un brillant panorama de la création sous les Han, depuis la peinture jusqu’aux bronzes, aux céramiques et aux objets de laque, parcourant l’ensemble de la création artistique, de la délicatesse de l’objet jusqu’aux sculptures monumentales.

Ce temps d’innovation artistique et technique constitue un moment essentiel de l’histoire de la Chine dont le rôle fondateur peut être comparé à celui de l’empire romain dans la culture occidentale.

Cette exposition n’est possible que grâce à la générosité insigne de nombreux musées chinois qui se défont, le temps de cette exposition, de nombre de leurs chefs-d’œuvre, assurant à la manifestation un niveau de qualité remarquable, à la hauteur de l’événement commémoré. Lire aussi ici

mardi 16 décembre 2014

La vie passe si vite...

Cette après-midi de décembre 2014, après les derniers achats de noël et après un délicieux goûter partagé au restaurant « Bistrot Le 443 » avec mes amis Fedora et Jean-Louis, je m'arrête quelques instants dans la forêt pour marcher seul dans les bois qui longent le canal d'Orléans.
C’est une belle journée, les feuilles jonchent le sol, composant une harmonie de verts, de jaunes et d’ocres. Le soleil timide transperce régulièrement les feuillages qui tardent à tomber, à chaque fois que les nuages poussés par le vent le libèrent. La lumière devient alors magnifique. Je respire avec un plaisir tranquille l’air frais et les odeurs humides. Je me souviens d'avoir déjà vécu ces instants des milliers de fois, et je me sens ravi comme un enfant qui découvre le monde.

Une pensée s’installe au centre de mon esprit : « je suis un humain libre et seul ». Cette pensée qui ne veut pas partir ne provoque pas de mélancolie en moi, pas de détresse. Aujourd’hui, du moins.
La journée est trop belle : j’ai du temps devant moi pour marcher et savourer chaque seconde. Pas de coups de fil, pas de tracas ni de contraintes, pas de stress ni de compte à rendre à qui que ce soit, juste du temps pour fouler les feuilles mortes, pour réfléchir et ressentir.

Depuis que j'ai mes 60 ans, chaque instant de vie, chaque pas est comme un cadeau supplémentaire que m’offre l’existence. Peut-être que je me dis cela car mon corps, en ce moment, ne me fait pas souffrir, ni ne m’envoie de signaux inquiétants. Peut-être que ce serait plus compliqué si c’était le cas. Peut-être.

Mais pour l’instant, j'aime bien regarder l’avenir en face, profiter des plaisirs simples de la vie, en marchant tranquillement dans ce sous-bois splendide, trop content de renifler et d’admirer cette belle forêt, ma notre forêt. Puisse-t-elle avoir encore très très longtemps cet effet sur moi.


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lundi 15 décembre 2014

Rodin - Le laboratoire de la création : Exposition au musée Rodin

Rodin - Le laboratoire de la création : Exposition au musée Rodin jusqu'au 27 septembre 2015...
L’exposition nous introduit dans le secret de l’atelier du sculpteur, véritable laboratoire de la création et creuset d’une Œuvre.
Un ensemble unique de cent cinquante plâtres et terres cuites souvent inédits, est sorti des réserves à cette occasion. Il permet de suivre le parcours exceptionnel du sculpteur. Le visiteur plonge au cœur du processus de création, invité, par l’exercice de son regard, à percevoir les chemins, les hésitations, mais aussi les fulgurances de la pensée formelle de Rodin.

Porte de l’Enfer, monuments aux Bourgeois de Calais ou à Victor Hugo, Balzac, Muse Whistler.. Les œuvres les plus célèbres et les plus abouties émergent peu à peu de l’esprit et des mains de Rodin, aboutissements d’un travail prodigieux et de très nombreux travaux préparatoires : études et esquisses de terre malaxées vigoureusement, maquettes, épreuves de plâtre moulées en série, puis retravaillées jusqu’à obtenir la version finale.

L’œuvre se construit sous nos yeux, les visages s’animent, les nus prennent position, avant d’être drapés, tandis que les abattis — ces membres séparés du corps (têtes, mains, bras, pied) — sont étudiés comme des morceaux de choix, des gestes isolés, avant d’être réintégrés à l’œuvre définitive. C’est une véritable profusion créatrice qui s’empare de l’artiste à chaque projet, une efflorescence de l’imaginaire qui explore, sonde, expérimente.

Crédit © Musée Rodin - E. Druet, Rodin dans son atelier au milieu de ses œuvres en plâtre, vers 1902 Épreuve gélatino-argentique

Les séries constituées par les œuvres définitives, ainsi que par les études et les modèles préalables qui ont présidé à leur conception, seront complétés par des photographies prises dans les ateliers de Rodin, ou retouchées par lui pour affiner son idée, chercher un profil, élaborer ses compositions. C’est donc en quelque sorte le cheminement qui précède le « chef d’œuvre » qui sera donné à voir. Lire aussi ici

Je veux vivre - Gounod (Romeo & Juliette)

dimanche 7 décembre 2014

A chacun son anniversaire...

Hé bien ! Qu'est-ce que cela, soixante ans !...C'est la fleur de l'age cela, et vous entrez maintenant dans la belle saison de l'homme. (Molière - Citation dans L'Avare)

Crédit Archives Baudouin N'G - Baudouin à 5 ans au Congo

Awa Ly - Doum Doum Doum

samedi 6 décembre 2014

Bon week-end...

La vie est un mystère qu'il faut vivre et non un problème qu'il faut résoudre (Gandhi)

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jeudi 4 décembre 2014

Tatoueurs - tatoués : Exposition au musée du quai Branly

Tatoueurs, tatoués : Exposition au musée du quai Branly jusqu'au 18 octobre 2015...
L’exposition revient sur les sources du tatouage et présente le renouveau de ce phénomène désormais permanent et mondialisé. Dans les sociétés dites "primitives", issue des mondes orientaux, africains et océaniens, le tatouage a un rôle social, religieux et mystique et accompagne le sujet dans ses rites de passage en l’incluant dans la communauté. À l’inverse, en Occident, on retient qu’il fut marque d’infamie, de criminalité, attraction de cirque (avec le phénomène des side-shows) puis marque identitaire de tribus urbaines.

Durant la première moitié du 20ème siècle, il a en effet évolué au sein de cercles marginaux, et il est demeuré geste clandestin jusqu’à ce que les médias le surexposent. Aujourd’hui, la publicité ou la mode s’emparent de ses codes. Cette approche géographique et antinomique tend aujourd’hui à disparaître : dans les sociétés traditionnelles, le tatouage perd son exclusivité rituelle ; dans les sociétés urbaines et au style de vie "occidentalisé", son caractère marginal s’efface pour devenir un ornement corporel assez communément partagé.

Crédit © Affiche de l'exposition " Tatoueurs, tatoués " au musée du quai Branly

Le champ universitaire s'est déjà penché sur les valeurs ethnologiques ou anthropologiques du tatouage, avant d'en explorer le terreau sociologique et les significations psychologiques. Depuis peu, les universitaires étudient la popularisation de la pratique en milieu urbain, qui établit le corps comme un lieu d’affirmation de soi. Mais le champ artistique et celui de l'histoire contemporaine restent encore à investir. Ce sont tous ces domaines que l’exposition explore, en offrant un nouvel éclairage sur le tatouage. Outre l’histoire du tatouage et son ancrage anthropologique fort, elle souligne également le geste de l'artiste, les échanges entre tatoueurs du monde entier et l’émergence de styles syncrétiques. Lire aussi ici

samedi 29 novembre 2014

Promenade en forêt d'Orléans...

Cet après-midi, juste avant la tombée de la nuit, promenade en forêt domaniale d'Orléans pour prendre l'air et vider la tête. Je retrouve ainsi mes anciennes habitudes après cinq mois consacrés à d'autres occupations.





Crédits Baudouin N'G - promenade en forêt domaniale d'Orléans, Novembre 2014

Jeff Koons - La rétrospective : Exposition au Centre Pompidou

Jeff Koons - La rétrospective : Exposition au Centre Pompidou jusqu'au 27 avril 2015...
Le Centre Pompidou organise la première rétrospective complète consacrée à Jeff Koons en Europe. Cette exposition sans précédent permet de prendre toute la mesure d’une œuvre qui aura marqué depuis trente-cinq ans le paysage artistique et culturel contemporain.

Si Jeff Koons a fait l’objet de maintes expositions, présentant tantôt des ensembles précis de son travail, tantôt des sculptures spécifiques dans des environnements historiques donnés, aucune exposition n’a rassemblé son œuvre en un parcours exhaustif et chronologique, couvrant l’entièreté de sa production. Quelque cent sculptures et peintures composent cette rétrospective qui suit tous les jalons de la carrière de l’artiste.

Conçue en collaboration avec le Whitney Museum of American Art, qui l’a présentée à New York du 27 juin au 19 octobre, cette exposition invite le visiteur à poser un regard débarrassé de préjugés sur l’œuvre d’un artiste parmi les plus célèbres et les plus controversés de notre temps, que Bernard Blistène, directeur du musée national d’art moderne et commissaire de l’exposition parisienne, considère comme « le dernier des Pop ». Lire aussi ici


Crédit © Philippe Migeat - Courtesy of the artist & Centre Pompidou, Paris, Jeff Koons, Balloon Dog (Magenta)

Bon week-end...

R comme Repos...

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vendredi 7 novembre 2014

Sade - Attaquer le soleil : Exposition au musée d'Orsay

Sade - Attaquer le soleil : Exposition au musée d'Orsay jusqu'au 25 janvier 2015...
Donatien Alphonse François de Sade (1740-1814) a bouleversé l'histoire de la littérature comme celle des arts, de manière clandestine d'abord puis en devenant un véritable mythe. L’œuvre du "Divin Marquis" remet en cause de manière radicale les questions de limite, proportion, débordement, les notions de beauté, de laideur, de sublime et l'image du corps. Il débarrasse de manière radicale le regard de tous ses présupposés religieux, idéologiques, moraux, sociaux.

Suivant l'analyse d'Annie Le Brun, spécialiste de Sade et commissaire invitée, l'exposition met en lumière la révolution de la représentation ouverte par les textes de l'écrivain. Seront abordés les thèmes de la férocité et de la singularité du désir, de l'écart, de l'extrême, du bizarre et du monstrueux, du désir comme principe d'excès et de recomposition imaginaire du monde, à travers des œuvres de Goya, Géricault, Ingres, Rops, Rodin, Picasso…

Le caractère violent de certaines œuvres et certains documents est susceptible de heurter la sensibilité des visiteurs. Lire aussi ici.


Crédits © Affiche de l'exposition Sade - Attaquer le soleil au musée d'Orsay

lundi 3 novembre 2014

Paris Photo 2014 : Exposition au Grand Palais - La Nef

Paris Photo 2014 : Exposition au Grand Palais - La Nef du 13 au 16 novembre 2014...
Pour cette 18ème édition, Paris Photo accueille cette année 143 galeries et 26 éditeurs, provenant de 35 pays (y compris pour la première fois d’Arabie saoudite, du Brésil, du Chili, de Grèce, de Taiwan, de Turquie ou du Brésil), présentant des pièces historiques et des travaux contemporains.

Un riche programme d’expositions complète ce panorama et offre une approche complète de la photographie. En accueillant notamment et pour la première fois deux institutions majeures à Paris.
Le MoMA, institution pionnière dans la reconnaissance du medium photographique, qui présente ses Acquisitions récentes.
La Collection privée de la Collection de photographies Alkazi (New Dehli) qui expose quant à elle une sélection de photographies enluminées et peintes provenant d’Inde et d’Asie du sud.

Crédits Courtesy of Collection de photographie Alkazi - Photographe commercial, Une femme sur le divan avec un téléphone, vers 1920-40

La Plateforme Paris Photo, dirigée par Urs Stahel, commissaire indépendant, réunit artistes, conservateurs, historiens et critiques autour d’un cycle de conférences, où discussions et échanges s’attacheront à interroger la nature du medium photographique aujourd’hui.

En partenariat avec la Fondation Aperture, Paris Photo présente la 4ème édition du prix du livre Paris Photo — Aperture Foundation Photobook Awards, avec l’introduction cette année d’une troisième catégorie pour le Catalogue photographique de l’année. Poursuivant le récit du livre photographique, l’exposition Livre Ouvert est consacrée au livre d’artiste, avec des œuvres rares et singulières des années 1960 à aujourd’hui, créées par des artistes parmi les plus avant-gardistes. Lire aussi ici.


Crédits © Cig Harvey — Courtesy of Robert Mann Gallery - Cig Harvey, The Pomegranate Seeds, Scout, Rockport, Maine, 2012

vendredi 31 octobre 2014

Clin d'oeil...

Sur la page facebook de mon amie Wallis, je redécouvre sa passion pour les loups. Elle porte un tatouage d'un loup dans le dos. De tous les temps, le loup a concentré sur son nom, peurs, fantasmes, croyances, et, de tous temps on l’a chassé, empoisonné, exterminé... Aujourd'hui, peut-être est-il temps d’apprendre à le connaître vraiment? Wallis est aussi passionnée de la musique. Sur sa page, j'ai eu aussi l'occasion de réécouter cette belle chanson : I'll stand by you - The pretenders.

jeudi 30 octobre 2014

La mer

Le retour du soleil, surprenant, à certains endroits de la France nous fait penser à l'été. Il est impensable de refuser d'aller passer quelques jours à la mer...

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mardi 21 octobre 2014

Concert d'orgue à Pithiviers...

Le Pithiverais, une fois encore, s’est adonné à la musique classique. Le samedi 11 octobre dernier, Laurent Coignard présentait un beau concert en l'église Saint Salomon-Saint Grégoire de Pithiviers. En effet, l'organiste Raphaël Tambyeff, accompagné par le trompettiste Mauricio Ahumada et le violoncelliste Ludovic Balla, ont fait vibrer près de 250 personnes qui assistaient à ce concert avec des œuvres classiques et des musiques de films. Une heure de concert pour écouter ou réécouter des œuvres de Haendel, Bach, Vivaldi, Albinoni ainsi que des compositeurs de musique de films comme Ennio Morricone, Marc Lanjean, John Williams...



Crédits Geneviève Mahaud - Concert d'orgue à Pithiviers, Octobre 2014

vendredi 17 octobre 2014

Saint Baudouin...

La vie est la plus belle des fêtes. [Julia Child]

Aujourd'hui 17 octobre, c'est la Saint Baudouin, notre fête... A savoir : Baudouin est un prénom dérivé du prénom germanique Baldwin.
Les éléments bald-et-win qui forment le prénom ancien Balwin signifient respectivement "hardi" et "ami".
Saint patron : Archidiacre de Laon à la fin du IXe siècle, saint Baudouin fut assassiné par les hommes du maire du palais de Neustrie qui le prenaient pour un ennemi. Il est fêté le 17 octobre.
Prénoms approchants : Baldo, Baldoina, Baldovino, Balduin, Baldwin

L'avis de Baudouin De Préval Versailles sur le prénom Baudouin
Sagesse : "C'est un prénom qui à une grande signification, et qui est peu courant: il est synonyme de sagesse ( Baudouin IV de jérusalem, le roi Baudouin de Belgique...)"

L'avis de Baudouin Paris sur le prénom Baudouin : "Baudouin est un prénom peu porté donc indémodable, mais ayant une histoire très riche, les successeurs de Godefroy de Bouillon et une portée géographique incontestable, Boldwin en Grande Bretagne, Balduin en Germanie, Bodewijn en Flandres ..." (Source Internaute.com)

samedi 27 septembre 2014

Concert d'orgue à l'église Saint Salomon-Saint Grégoire de Pithiviers...

Laurent Coignard organise un concert d'orgue avec la participation de Raphaël Tambyeff le samedi 11 octobre à 20 heures...

Communiqué de presse :

De l'orgue dans une église, il n'y a rien là pour étonner. Surtout dans l'église de Pithiviers car l'orgue de Saint Salomon-Saint Grégoire est célèbre comme l'un des plus remarquables instruments de France. Les messes, les mariages, (les enterrements malheureusement aussi) ont droit à ce souffle puissant qui résonne et semble à même de faire s’effondrer les murs, mais qui peut aussi se révéler voie céleste comme s'appelle l'un des "jeux" de l'instrument.
Ce qui est moins courant, c'est d'entendre là des musiques qui nous sont familières, de celles qui nous parlent immédiatement, parce qu'elles sont gravées dans nos mémoires encore mieux que si elles avaient été gravées sur un disque. Qui de nous ne connaît pas l'air de Jeux interdits, le magnifique film de René Clément? Mais cet air, c'est à la guitare que chacun le connait. Alors, s'il pourrait paraître étrange de le voir jouer à l'orgue, c'est que peu de gens savent qu'un orgue seul, par ses nombreuses possibilités sonores peut jouer, avec des arrangements minimes, des œuvres composées pour orchestre.

C'est à ce jeu, que va jouer samedi 11 octobre, dans l'église Saint Salomon-Saint Grégoire, à 20 heures le célèbre organiste Raphaël Tambyeff en nous proposant L'orgue fait son cinéma. Cela sera pour beaucoup l'occasion de découvrir comment les cinéastes s'emparent de célèbres partitions (La Toccata de Bach, la Sarabande de Haendel...) pour en faire la musique de Doucement les basses... ou du magnifique Barry Lindon. C'est donc à un jeu de perspectives que nous invite Raphaël Tambyeff en nous proposant, à son tour, avec l'appui d'un violoniste et d'un trompettiste, une transcription pour orgue, ceci étant une manière ensuite de les confronter aux pièces véritablement écrites pour l'orgue qui forment la seconde partie du programme à laquelle figureront : Bach, Vivaldi, Pachelbel, Schubert ou Offenbach...

Raphaël Tambyeff a obtenu à quinze ans son premier poste d'organiste. En 1963, il a été nommé titulaire des Grandes Orgues de Notre-Dame de Passy, poste qu'il a occupé pendant trente-neuf ans. En raison de son intérêt pour la musique contemporaine, il a donné de nombreuses œuvres en première audition et participé à des festivals et des concerts en France et à l'étranger (Allemagne, Angleterre, Canada, Espagne, Finlande, Hollande, Maroc, Suisse) et a souvent prêté son concours à Radio-France. Depuis 2002, il est professeur d'orgue au Conservatoire International de Musique de Paris;

C'est Laurent Coignard qui, grâce au mécénat de Arts & Création, organise depuis quatre ans, dans l'église de Boiscommun les concerts Chœurs éternels qui a proposé à Philippe Nolland cette initiative qui a obtenu immédiatement le soutien de la Mairie de Pithiviers. Comme les concerts de Boiscommun, le récital de l'église Saint Salomon-Saint Grégoire sera entièrement gratuit et, ce qui peut être important à cette époque de l'année, aura lieu dans une église chauffée.

Pour tous renseignements supplémentaires : laurentcoignard@hotmail.fr


Crédits Baudouin N'G - Affiche du concert d'orgue à Pithiviers

Bon week-end...

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vendredi 26 septembre 2014

Niki de Saint Phalle : Exposition au Grand Palais

Niki de Saint Phalle : Exposition au Grand Palais jusqu'au 2 février 2015...
Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l’une des artistes les plus populaires du milieu du XXème siècle mais paradoxalement la richesse et la complexité de son œuvre restent à découvrir. Elle compte parmi les premières artistes femmes à acquérir de son vivant une reconnaissance internationale et à jouer de sa personnalité médiatique. Niki est d’ailleurs l’une des premières personnalités — au même moment que Warhol — à utiliser la presse et les médias pour contrôler ou orienter la réception de son travail.

Crédit Affiche de l'exposition Niki de Saint Phalle au Grand Palais

Autodidacte, Niki de Saint Phalle s’inspire de Gaudí, Dubuffet et Pollock pour mettre en place dès la fin des années 50 un univers singulier, en dehors de toute tendance et mouvement. Son parcours biographique y est sublimé par la création de grands thèmes et de mythes qui articuleront ensuite toute son œuvre. On en connaît le caractère joyeux et coloré, mais on en a oublié la violence, l’engagement et la radicalité. Qu’il s’agisse de l’audace de ses performances, du contenu politique et féministe de son travail ou de l’ambition de ses réalisations dans l’espace public.

Crédit © 2014 Niki Charitable Art Foundation, All rights reserved. Donation Niki de Saint Phalle — Sprengel Museum Hannover - Niki De Saint Phalle, Leaping Nana, 1970 Serigraph sur papier Velin d’Arches

Cette rétrospective, première grande exposition consacrée à Niki de Saint Phalle depuis vingt ans, présente toutes les facettes de l’artiste qui fut à la fois peintre, assemblagiste, sculpteure, graveuse, performeuse et cinéaste expérimentale, et renouvelle profondément le regard posé sur son travail. Plus de 200 œuvres et archives dont beaucoup sont inédites émaillent un parcours de 2000 m2 à la fois chronologique et thématique, ponctués d’écrans montrant l’artiste commentant son travail. Des maquettes de projets architecturaux et une sculpture-fontaine (L’Arbre de Vie) devant l’entrée du Grand Palais, permettront d’évoquer l’ampleur et la diversité de son œuvre publique. Lire ici

Sade - By your side

mardi 29 juillet 2014

Dernier billet avant les vacances jusqu'au prochain..

Sollicité par de nombreux projets qui concernent ma vie, je suis moins assidu à la rédaction quotidienne de mon blog. Cette habitude de produire de petits textes de circonstance, que peut-être personne ne lit, prend, en fin de compte, beaucoup de temps. Les mois de juin et juillet m’ont donc laissé peu de loisir pour m’adonner à cet exercice, pourtant passionnant, du blog auquel je reviendrai en septembre.
Une confidence : ce qui m’a également distrait du blog, c’est la discipline de consacrer un peu de temps à la mise en forme de ce qui pourrait devenir un petit nid douillet d'une personne qui compte beaucoup pour moi où je tente de partager mon temps et mes réflexions sur quelques sujets qui me tiennent à cœur dont celui de la décoration et du jardin.

Pour ma part, avec pincement au cœur suite à l'annulation d'une réservation souhaitée et sauf miracle, je ne passerai pas, comme d’habitude, mes vacances en Bretagne. D'où je serai, puisse le temps ne pas y être trop décevant pour ne pas me saper le moral!

C’est à une photographie de l’auteur de ces quelques lignes en compagnie d'Aline Kutan, soprano canadienne et Delphine Haidan, mezzo-soprano française (à peine une heure avant le concert Chœurs Éternels), que je confie le soin de clore cette livraison de mon blog pour ces sept premiers mois de l'an 2014.

Bon été à tous.


Crédits Hugues Exurville

ANJE : Rencontre avec Najat Vallaud-Belkacem

Hier après-midi, la visite du centre régionale de loisirs d’Etampes était programmée dans l'agenda de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. Visite pendant laquelle elle a été accueillie dans le camp aventure de l'ANJE (Association Nibelloise Jeunesse et Enfance), le temps de discuter avec Joe Chaploteau, directrice du centre aéré de Nibelle, et d'écouter les impressions des animateurs et des enfants présents dans le camp.









Crédits Fleury Vuadiambo et Baudouin N'G - Visite de Najat Vallaud-Belkacem à la base de loisirs d'Etampes, dans l'Essonne. (Camp aventure ANJE, Juillet 2014)

jeudi 24 juillet 2014

Un autre concert organisé par Laurent Coignard...

Samedi dernier, avec mon ami Laurent Coignard, nous faisons le point sur le déroulement du dernier concert Chœurs Éternels à Boiscommun et sur les projets à venir. Nous avons été marqués par l’attention chaleureuse portée par le public au concert de qualité offert par les Chœurs Éternels à l'église Notre-Dame de Boiscommun.

Dans un registre tout à fait différent et dans un avenir très proche, plus précisément le samedi 11 octobre à 20 heures à l'église de Pithiviers, Laurent Coignard organise un concert d'orgue avec l'organiste Raphaël Tambyeff. Au programme, les musiques de films, et quelques œuvres classiques comme la Toccata de Johann Sebastian Bach, le Canon de Johann Pachelbel...

Né le 7 mai 1936, dès l’âge de quatre ans, Raphaël Tambyeff apprend le piano. C’est à Paris, à l’Ecole César Franck et au Conservatoire National Supérieur que Raphaël Tambyeff étudiera l’Harmonie, le Contre-Point, la Fugue, l’Histoire de la Musique et, bien entendu l’Orgue et l’Improvisation.

Il obtient son premier poste d’organiste à l’âge de 15 ans ! Nommé Titulaire des Grandes Orgues de Notre-Dame de Grâce de Passy, en 1963, il est aussi depuis 1979, Titulaire des Grandes Orgues du Crématorium du Père Lachaise.

L’intérêt qu’il porte à la musique contemporaine lui vaut de nombreuses créations. Il donne de nombreux concerts en France et à l’étranger. Invité des festivals, il prête également son concours à Radio France.
Sa rigueur, mais aussi son désir de communiquer, auxquels s’ajoutent les dons naturels de pédagogue, en font un professeur aimé et recherché. Il fait partie de nombreux jurys d’examens et concours internationaux.

Chœurs Éternels : Les images parlent d'elles-mêmes...

Quelques images du quatrième concert présenté par Laurent Coignard à Boiscommun le 22 juin dernier...




























Crédits Hugues Exurville, Jean Alliot, Samuel Dauprat et Baudouin N'G - Concert Chœurs Éternels, Église Notre-Dame de Boiscommun, Juin 2014
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