mardi 17 février 2015

Norma - Casta Diva (Maria Callas) - Vincenzo Bellini

Florence Henri - Miroir des avant-gardes 1927-1940 : Exposition au Jeu de Paume

Florence Henri - Miroir des avant-gardes 1927-1940 : Exposition au Jeu de Paume du 24 février au 17 mai 2015...
Le Jeu de Paume présente un vaste panorama de la production photographique de Florence Henri, développée entre 1927 et 1940, qui comprend aussi bien ses autoportraits, compositions abstraites, portraits d’artistes, nus, photomontages, photocollages, que des photographies documentaires prises à Rome, à Paris et en Bretagne. L’exposition est constituée principalement de tirages d’époque ainsi que de quelques documents et publications.

Dans sa jeunesse, Florence Henri étudie la musique et la peinture en Angleterre et en Allemagne. En 1919, étudiante à l’Académie des Beaux-Arts de Berlin, elle rencontre l’écrivain et historien Carl Einstein et se lie d’amitié avec plusieurs représentants de l’art d’avant-garde, entre autres Hans Arp, Adrian Ludwig Richter, John Heartfield et Lázló Moholy-Nagy.
Elle suit des cours au Bauhaus de Weimar auprès de Paul Klee et Vassily Kandinsky. En 1924, elle s’installe à Paris où elle fréquente l’Académie de Montparnasse, dirigée par André Lothe, puis l’Académie moderne fondée par Fernand Léger et Amédée Ozenfant.
En 1927, après une visite au Bauhaus de Dessau, elle abandonne la peinture pour la photographie. C’est à cette époque qu’elle réalise ses fameux autoportraits au miroir et ses compositions de natures mortes, issues de ses premiers pas dans la recherche spatiale qu’elle mènera à travers la photographie.

Crédits Florence Henri © Galleria Martini & Ronchetti. Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, D - Florence Henri, Portrait Composition, Tulia Kaiser vers 1930

Entre la fin des années 1920 et le début des années 1930, ont lieu en Allemagne trois expositions mythiques dans l’histoire de la photographie européenne qui permettent de rendre compte de l’essor des nouveaux concepts en photographie et de la rupture avec la tradition :  _Fotografie der Gegenwart _, au Museum Folkwang à Essen, en 1929, Film und Foto  (« Fifo »), organisée la même année par le Deutscher Werkbund à Stuttgart — cette exposition est le point culminant du mouvement de la Nouvelle Vision (Das Neues Sehen) promu, entre autres, par László Moholy-Nagy —, et « Das Lichtbild » à Munich, en 1931, qui, quant à elle, consacre le triomphe de la Nouvelle Objectivité (Die Neue Sachlichkeit), représentée par Albert Renger-Patzsch.

Invitée à montrer un nombre important de tirages dans ces trois expositions, Florence Henri se voit ainsi reconnue pour sa production photographique au cours de cette période fondamentale où l’outil photographique servit à libérer la vision de l’homme et l’ouvrit à de nouvelles expériences.
Le studio que Florence Henri ouvre à Paris en 1929, rivalise avec celui de Man Ray. Elle y donne des cours de photographie que fréquentent, entre autres, Lisette Model et Gisèle Freund. En dépit de la place centrale qu’occupe son œuvre dans le milieu photographique de l’avant-garde de la fin des années 1920 et de sa renommée comme portraitiste à Paris, et bien qu’elle ait publié ses photographies dans de nombreuses revues illustrées de l’époque — Arts et Métiers, Lilliput, etc. —, l’œuvre de Florence Henri demeure largement méconnue. Lire aussi ici

samedi 14 février 2015

Bon week-end...

« L'amitié, comme l'amour, demande beaucoup d'efforts, d'attention, de constance, elle exige surtout de savoir offrir ce que l'on a de plus cher dans la vie : du temps ! » (Catherine Deneuve)

Via

mercredi 11 février 2015

Choeurs Eternels revient à Boiscommun : Concert dimanche 28 juin 2015

Hier, rapide conversation avec mon ami Laurent Coignard qui me confirme la tenue du cinquième concert de Chœurs Éternels en l'église Notre-Dame de Boiscommun sous la direction du chef Patrick Marie Aubert.
Avec la soprano Aline Kutan qui revient pour la troisième fois à Boiscommun, Laurent Coignart nous promet un répertoire époustouflant.


Crédits Baudouin N'G - Concert Choeurs Eternels à Boiscommun, 2014

Escapade à Ouistreham...

Ce matin, alors que je m’extirpais péniblement de mon lit et malgré la qualité du sommeil des plus médiocres et mon humeur grognonne à cause d'une nuit courte, je savais que ma journée allait être très agréable.
En effet, histoire de me ressourcer avec un peu d'air iodé, j'ai passé une belle journée à Ouistreham en visitant la ville, le casino, le marché des pêcheurs, la capitainerie du port, le port de plaisance, la plage, la mer...

Je m'aperçois que je change complètement mon regard sur la joie, la joie de vivre spontanée. Même si ce qui m’attend n’est pas forcément réjouissant, même s’il pleut, même s'il neige, même si je vais affronter des difficultés, je me dope à l’enthousiasme, à la joie de vivre, cherche les occasions de sourire ou de rire.
Mais n’est-ce pas exactement ce dont nous avons besoin pour vivre ?





Crédits Baudouin N'G - Escapade à Ouistreham, Février 2015

lundi 9 février 2015

A quoi ça sert ?

Je pensais à ça l’autre jour, en discutant avec un copain, à qui j’avais rendu un service. Il voulait me récompenser en échange pour garder une relation qui fonctionne sur le donnant-donnant.

Sans trop de discours, j'ai rappelé cette lecture dont je ne me souviens plus très bien de qui est l'auteur : rendre service aux autres nous rend plus heureux, et être plus heureux nous pousse à rendre service aux autres. De même pour ceux à qui nous avons rendu service, cela les rend un peu plus heureux (ou un peu moins malheureux), et les prépare donc à se tourner un peu plus facilement vers d’autres autres, et à les aider, etc..
Ainsi se profile des liens indissociables et réciproques entre altruisme et bonheur, donc.

dimanche 8 février 2015

Parmentier de lendemain de pot-au-feu...

Hier midi, rencontre avec des amis citadins à la campagne où ils ont pris l'habitude de venir plus souvent les week-ends depuis que l'âge de la retraite se fait sentir. Nous nous retrouvons et nous donnons de nos nouvelles.

Chez eux, c'est un petit chalet près d'un bois. Dans la maison, des étagères en caisses de bouteilles (le bougre est un amateur avisé de belles quilles), un décor typique de la campagne, des tables et des chaises de bois à la sobriété ouvrière, seul le bois brut des murs et les luminaires dépouillés jouent le contemporain. Autant dire qu’on s’y sent bien dès la porte poussée.

Martine et Philippe sont des amis que je connais depuis un bail. Je les apprécie énormément. Ils sont l'exemple d'une amitié que je place au plus haut degré d'admiration par les valeurs qu'ils portent : la simplicité, la sincérité, la sympathie, l'écoute, l'humour... Ce sont des amis sans " moi je ", ni artifices et ni chichis. Ils sont d’une grande gentillesse, intelligents et sensibles.

Philippe aime cuisiner. A sa table, on mange des nourritures simples mais sincères, fraîches et bien balancées, sans rond de jambe ni entorse modeuse. C'est ce que nous avons apprécié au déjeuner sur un coin de la table dégagée à moitié pour poser les assiettes et calmer notre faim.
Après un apéritif pétillant, nous dégustons des rillettes de volaille (fait maison), un parmentier de lendemain de pot-au-feu annonçant la couleur et déboulant tout en chaleur tendre avec une belle salade très agréablement parfumée et un plateau de fromage où le chèvre aux délicats parfums de foin se taille la part du lion. Le tout arrosé de vin blanc et vin rouge pour agrémenter ces moments savoureux. C’est bon, généreux et servi dans des assiettes de grand-mère au charme désuet. J'adore...



Crédits Baudouin N'G - Repas partagé avec Martine, Mina, Philippe et moi-même

jeudi 5 février 2015

Tension élevée dans mon oeil droit...

J'ai très mal dormi la nuit dernière à cause des douleurs tenaces que j'ai dans mon œil droit. Cela m'oblige à revoir mon ophtalmologiste pour me rassurer et trouver un traitement adapté.

Lors de la dernière consultation, j'avais compris que l’œil est un système optique qui doit avoir une forme stable. Ce n'est pas mon cas à cause de cette tension élevée à répétition. L’œil est comme un ballon dont la pression doit être stable. L’œil secrète un liquide appelé humeur aqueuse qui est éliminée en permanence par de petits trous appelés trabéculum. Lorsque l’issue de l’humeur aqueuse se fait mal, la pression augmente dans l’œil ce qui finit par altérer les fibres du nerf optique et peut conduire à la cécité.

Il y a de quoi s'en inquiéter et je dois à tout prix me surveiller.
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