dimanche 31 janvier 2010

Musique vivante en milieu de la santé...

Si l'hôpital est un lieu privilégié de soins, lorsqu'une personne y séjourne pour une période plus ou moins longue, elle est alors coupée de sa vie familiale quotidienne et de ses proches. La souffrance, la solitude, la détresse guettent ceux que la maladie atteint. L'association Musique et Santé, créée en 1998, oeuvre pour la promotion et la diffusion de la musique vivante en milieu hospitalier et dans les structures d'accueil des personnes handicapées.


Si la musique adoucit les mœurs, elle allège aussi les souffrances. C’est le sens de l’association Musique et Santé. Créée en 1998, cette initiative s’appuyant sur l’art thérapie investit en musique des hôpitaux et des structures d’accueil pour personnes handicapées. Accueillant des musiciens professionnels et formant les personnels hospitaliers à la question, Musique et Santé s’adresse à des personnes de tout âge, des enfants prématurés aux personnes âgées, en passant par les adolescents et les jeunes adultes.

Cette forme de thérapie musicale aide aussi des femmes connaissant des difficultés de grossesse. Durant le temps de l’hospitalisation, ces espaces de soins (services de pédiatrie, de néonatologie, de gérontologie, réanimation adulte…) devenus lieux de culture permettent grâce à ce nouvel espace d’expression et de communication d’ouvrir une fenêtre sur l’extérieur. Les musiciens interviennent toutes les semaines ou tous les quinze jours. L’atelier musical se présente en groupe ou au chevet du malade, en fonction de la pathologie des patients et de la géographie des lieux. Des résidences artistiques sont également organisées. Un lien se recrée avec la famille et les proches.

Parrainée par le pédopsychiatre Marcel Rufo, le pédiatre Yannick Aujard et les musiciens Sarah Nemtanu, Steve Waring, Jean-Jacques Milteau et Dédé Saint-Prix, l’association Musique et Santé a été missionnée par la Délégation au Développement et aux Affaires internationales du ministère de la Culture et de la Communication pour développer des actions au niveau national et mettre en place un pôle européen interdisciplinaire sur le thème de la culture à l’hôpital. Source Ici et

Une nouvelle association à Nibelle : Camping-car club Beauce-Gâtinais...

L'idée est venue de Martine et Dominique Largillière lors d'un un rassemblement test qui a eu lieu à Montliard. Le 6 avril 2009, la réunion convoquée à Boiscommun donnait naissance à l'association Camping-car club Beauce-Gâtinais.
Cette association à pour but de rassembler des amoureux du camping-car afin de partager les plaisirs, les voyages, les renseignements et les astuces de cet art de vivre.

La première assemblée générale du club a eu lieu dimanche 17 janvier dans la salle Jacques Poisson de Nibelle. C'était l'occasion pour les amoureux du camping-car de se faire connaître, d'évoquer les premières sorties réalisées ( Visite de Rosny-les-Sept-Ecluses dans l'Yonne et la plage de débarquement de Courseulles-sur-Mer dans le Calvados) et présenter une esquisse sur les orientations et projets de l'association.
La prochaine sortie au programme aura lieu le week-end de la Pentecôte dans le Doubs.

Le bureau est constitué de Martine Largillière Présidente, Jean-Marc Veron Secrétaire et Dominique Tancrez Trésorière.
L'association a un blog que vous pouvez voir à l'adresse suivante : camping-car-club-beauce-gatinais.over-blog.com


Crédit photo Patricia Scalla

samedi 30 janvier 2010

Johann Sebastian Bach : Souvenir d'un moment fort...

Je viens de me souvenir tout juste, en écoutant ce concerto de Bach, d'un fabuleux concert auquel j'avais assisté il y a une dizaine d'années à Paris.
J'ai du mal dans ces souvenirs de contrôler mon humeur un peu trop euphorique mais il faut l'avouer que ce concert était génial et reste un moment de méditation, surtout en cette période d'attente ou de tournant dans sa vie...
La musique classique crée un état de transe légère et de relaxation profonde quand on se sent en déséquilibre, quand on a envie de se vider la tête ou de se retrouver à l'intérieur. Cet extrait est pour moi un vrai bijou sonore !


Bon week-end...

Crédit photo Anzu via Paradis express

Assemblée générale de l'ANJE : L'association fête ses 20 ans cette année...

Les membres et adhérents de l'ANJE (Association Nibelloise Jeunesse et Enfance) étaient réunis vendredi 29 janvier 2009 en assemblée générale à la salle des associations sous la présidence de Virginie Duverger, nommée en remplacement suite à la démission de la Présidente. Après avoir remercié les représentants des collectivités locales, les membres et les participants, la présidente par intérim a retracé le panorama complet des activités de l'année écoulée.

Sylvie Parmentier, la trésorière, a présenté le bilan financier et la position nette de trésorerie qui montre que l'association ne présente aucun risque de liquidité.

Dans une atmosphère détendue et conviviale, un dialogue s'est installé entre les représentants de la municipalité, l'assemblée restreinte et les membres de l'association. Cet échange a permis de partager la problématique des membres dirigeants, d'écouter le questionnement de l'assemblée et de dégager une vision réaliste et dynamique de l'association ANJE.
Il faut dire que c'était une assemblée peu ordinaire, une vraie réunion de travail qui a donné l'occasion de passer au crible beaucoup de questions permettant d'apporter des réponses concrètes et intéressantes sur les objectifs de 2010. L'association ne manque pas de projets et se prépare à fêter ses 20 ans le jour du spectacle réalisé par les enfants du Centre aéré.

L'association comprend 7 membres actifs et une cinquantaine d'adhérents. On notera la démission de Nathalie Villefranche et de Céline Guillemot, la réélection de Virginie Duverger et l'élection de Laurence Euvrard et Baudouin N'Gunda.
Le conseil d'administration est constitué de Virginie Duverger Présidente, Sylvie Parmentier Trésorière, Laurence Euvrard Trésorière adjointe, Roseline Monceau Secrétaire, Isabelle Bobet Secrétaire adjointe, Joe Chaploteau Directrice du Centre et Baudouin N'Gunda Administrateur.

Avant de lèver la séance, le maire de Nibelle Gérard Rousseau a regretté l'absence de nombreux parents lors de cette assemblée et a voulu saluer le courage des bénévoles de l'association pour le service qu'ils proposent, pour leur implication et pour leur disponibilité tout au long de l’année. L'assemblée générale s'est achèvée par le traditionnel verre de l'amitié.




Crédit photos Baudouin N'G

vendredi 29 janvier 2010

La pleine Lune : Légende ou pas...

La pleine Lune est la phase lunaire durant laquelle la Lune apparaît la plus brillante depuis la Terre, de par le fait que nous voyons, lors de cette phase, presque toute la surface lunaire éclairée par le Soleil. La pleine lune est le contraire de la nouvelle lune, phase durant laquelle la Lune n'est pas visible depuis la Terre.

Crédit photo Visoterra

La pleine Lune a inspiré de nombreuses légendes :
-Les accouchements seraient plus nombreux (des études scientifiques ont rigoureusement montré que cela était statistiquement faux.
-Les loups-garous se transformeraient.
-Certaines opérations horticoles seraient plus profitables (boutures, greffes, etc.), ce qui n'est pas strictement impossible, la pleine Lune délivrant une énergie lumineuse non négligeable. Voir aussi phase lunaire et botanique.
-Les gens atteints de maladie psychiatrique verraient une exacerbation de leurs symptômes.
-Les vampires auraient la possibilité de se régénérer les nuits de pleine lune lorsqu'ils sont en manque de sang humain ou quand ils sont faibles.

La rose : Je l'aime en secret...

La rose, appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l’Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C’est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l’églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».

La rose est la fleur des rosiers, arbustes du genre Rosa et de la famille des Rosaceae. La rose des jardins se caractérise avant tout par la multiplication de ses pétales imbriqués qui lui donnent sa forme caractéristique.

Crédit photo Pierre-Auguste Renoir, Roses de Wargemont 1882, Collection privée

Rose : amour, je vous aime d'un amour fou, poète, romantique, fidélité.
Rose orange ou corail : reflète le désir et l'enthousiasme.
Rose blanche : amour pur, rien n'entachera mon amour pour vous. Amour spirituel, pureté. Vous êtes innocente et pleine de charmes. Amour tendre.
Rose bleue : mystère, patience, atteinte de l'impossible, espoir éternel.
Rose jaune : infidélité, vous êtes volage. Jalousie. Amour faiblissant. Inquiétude amoureuse.

Rose lavande : coup de foudre, je suis tombé amoureux de vous.
Rose noire : mort, mon amour pour vous n'existe plus. Mon amour perdurera jusque dans la mort.
Rose pompon : amourette.
Rose rose : amour véritable et tendre, je vous aime réellement. Votre beauté est épanouie. Amour empreint de réserve ou qui peine à s'exprimer, timidité aidant. Elle symbolise aussi tout simplement l'amitié.

Rose mauve : tristesse, chagrin, ou nostalgie.
Rose rouge : amour, passion, mon amour pour vous est ardent. Désir de volupté. Désir charnel. Un bouquet de douze roses rouges : demande en mariage.
Rose rouge foncé : amour pour la vie.
Rose rouge et blanche : union, vivons ensemble, ou pureté d'un amour passionné (platonique).

Versailles photographié 1850-2010...

Exposition ouverte depuis le 26 janvier jusqu'au 25 avril 2010, Galerie de pierre haute à Versailles...

Fort du succès des expositions Versailles à l’ombre du soleil et La guerre sans dentelles, le château de Versailles renouvelle son rendez-vous avec la photographie. Versailles photographié rassemble environ 150 clichés de photographes reconnus qui ont, depuis les débuts de cette technique, porté leur regard sur le Château pour en saisir la beauté et les multiples facettes.

La galerie de pierre haute devient ainsi une véritable galerie de photographie accueillant les clichés de grands artistes ayant marqué l’histoire de leur discipline tels qu’Eugène Atget, Man Ray, Brassaï, André Kertész, Jacques-Henri Lartigue, Dora Maar, Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson... ainsi que des grands noms de la photographie contemporaine : Robert Polidori, Raymond Depardon, Jean-Loup Sieff, Michael Kenna, Jun Shiraoka, ou encore Luigi Ghirri.

Crédit photo Affiche de l'expo Versailles Photographié, 1850-2010 © EPV

L’Exposition propose, autour de quatre grands thèmes, une réflexion sur l’image du lieu à travers le temps. « Versailles au coeur de l’histoire » montre le Château en tant que théâtre de grands événements historiques. « De pierre, de marbre et de soie » s’attache à mettre en valeur la magnificence de l’architecture des bâtiments, tout en évoquant les appartements plus intimes, contrastant avec l’aspect monumental du lieu. « La nature maîtrisée » présente tour à tour une vision onirique, poétique, stricte ou austère du parc. Enfin, « Rêver Versailles » rend hommage aux visiteurs et aux différentes mises en scène qu’inspirent ces lieux exceptionnels. Le parcours de l’exposition est aussi bien un hommage au Château qu’à la photographie.


jeudi 28 janvier 2010

Regina Spektor : Un peu de douceur dans ce monde de...

Peu importent les notes, en musique, ce sont les sensations produites qui comptent. [Leonide Pervomaïski dans Extrait de Des notes disparates]

Fausse alerte ou bébé arrive...

Je pense que j'ai laissé suffisamment d'indices pour vous dire que je vais être bientôt grand-père. Cette nuit vers 3h00 du matin, le téléphone a sonné pour annoncer le départ à la matérnité. Eh bien, c'était une fausse alerte et l'idée me vient tout naturellement à parler de ces moments qui précèdent l'arrivée du bébé...

Crédit photo Femme au féminin.com

Le jour J approche et vous vous posez de nombreuses questions. Comment savoir si je ressens de "vraies contractions" ? Quand devrai-je partir à la maternité ? S’agit-il d’une fausse alerte ou du vrai travail ?

N’ayez jamais peur d’être ridicule. En cas de doute, partez à la maternité ou appelez l’équipe médicale pour décrire ce que vous ressentez : la durée de vos contractions, leur régularité, leur intensité...

Les fausses alertes : Il s’agit en fait d’authentiques contractions qui peuvent durer plusieurs heures durant lesquelles vous sentirez votre ventre se durcir, mais qui n’entraînent pas le travail... Le col de l’utérus ne se modifie pas et les contractions s’arrêtent toute seule. En fonction de votre terme, des conditions locales, on pourra vous déclencher en cas de faux travail pénible. Sinon, vous n’avez plus qu’à rentrer à la maison pour attendre le bon moment.

Les signes du travail : Le pré-travail correspond à une phase plus ou moins longue durant laquelle les contractions sont irrégulières. C’est à ce moment-là que le col de l’utérus termine sa maturation : il se centre, se raccourcit, se ramollit et commence à s’ouvrir. Source Dr Joël Agénor, lire l'article complet Ici

George Harrison : Un peu de nostalgie…

Exposition Paris Ville rayonnante au Musée du Moyen Âge...

Exposition au Musée du Moyen Âge du 10 février 2010 au 24 mai 2010...

L'exposition ressuscite le Paris du XIIIe siècle en mettant en valeur la richesse et la diversité de son patrimoine architectural et sculpté.
A partir des cinq bâtiments d'importance conservés de cet époque dont, entre autres, Notre-Dame et la Sainte-Chapelle, l'exposition explore les qualités du style "gothique rayonnant" mais rapproche également les vestiges d'autres constructions. Le visiteur pourra admirer l'historicité et l'architecture à travers des représentations graphiques extrêmement précises.


Crédit photo RMN-Jean-Gilles Berizzi, Clé de voûte tête, musée de Cluny

L’exposition Paris, ville rayonnante présente de façon inédite plus de 200 oeuvres issues d’édifices prestigieux tels que Notre-Dame et la Sainte-Chapelle. Commencée au musée, la découverte de la ville d’hier et d’aujourd’hui se poursuit avec un parcours médiéval à travers les édifices et les vestiges du XIIIe siècle situés à proximité de Cluny.

Au XIIIesiècle, Paris atteint un statut de capitale européenne et artistique. La présence du pouvoir royal et de l’Université et sa prospérité économique font d’elle une des grandes cités du monde médiéval. Appréciée par les Capétiens depuis le Xe siècle, Paris devient un centre permanent du pouvoir royal sous le règne de Philippe Auguste. La ville s’impose comme un centre industriel et commercial notamment pour le livre.

La peinture et l’enluminure atteignent un niveau d’excellence rarement égalé. Le prestige de la cité et sa richesse économique entraînent un afflux de population. La cité s’étend, suscitant la création de nouvelles paroisses et l’établissement de nouvelles institutions dans la ville et ses faubourgs. Les chantiers de construction se multiplient.
Lire aussi Ici

mercredi 27 janvier 2010

Oh Danny boy ou Connaissez-vous là-bas : Un clin d'oeil aux choristes...

Un clin d'oeil à tous les choristes de La Villanelle de Dadonville...



Chanter le matin sous la douche, dans sa baignoire, c’est la première image qui vient à propos du chant. Chanter dans une chorale relève avant tout d’une envie et d’un partage. Envie de s’exprimer musicalement par la voix et de partager cette joie avec un groupe de personnes.

Depuis un certain film, le chant choral a perdu son côté désuet pour devenir tendance ! Cela n’a rien changé dans les rangs des choristes, cela leur a juste apporté la reconnaissance qu’ils espéraient depuis longtemps. Que le chant choral connaisse aussi son heure de gloire n’est que justice, gageons cependant que ce retour en grâce ne sera pas éphémère, que le plaisir de chanter ensemble va s’inscrire durablement dans un pays qui se découvre chaque jour un peu plus musicien.
Source Lydie Cara Gustin, lire l'article complet Ici.

Deborah Silver : Les poupées végétales...







Crédit photos Deborah Silver via Paradis express

La Balade du Canal d'Orléans : Préparez-vous dès maintenant...

La Balade du Canal d'Orléans (19ème édition) aura lieu le 28 février 2010. Le départ sera donné à l'Etang de La Vallée. C'est une randonnée ouverte aux licenciés et non-licenciés mais n'accueillant pas les handicaps.

Parcours : 25 km - 20 km - 15 km et 9 km à partir de 7 h 00
4 circuits de randonnées sont proposés : 9 et 15 km (parcours de niveau pour tous), 20 km (parcours moyen) et 25 km (parcours sportif).

Renseignements Syndicat de Gestion du Canal d'Orléans ...
Tél. : 02 38 46 82 91
Email : canal.orleans@wanadoo.fr

Crédit photo Canal d'Orléans, Deux chats dans ma cuisine

La marche est une activité naturelle que tout le monde pratique chaque jour. A un rythme tranquille, on peut marcher à tout âge. Mais habitués à la voiture et aux transports en commun, nous avons tendance à oublier que la marche peut nous être bénéfique.

Activité naturelle, la marche peut être pratiquée par tous (sauf en cas de problèmes de santé aigu). Nous sommes tous faits pour bouger et la personne qui marche enregistre immédiatement une production d’énergie, un meilleur acheminement d’oxygène dans le sang et les muscles et consolide son squelette. Elle met ainsi en place un programme santé par excellence. A un rythme tranquille, la marche peut être pratiquée à tout âge. (Geneviève Pons - Lire l'article complet Ici)

Alice au pays des merveilles au Printemps Haussmann...

A l’occasion de la sortie du film Alice au Pays des Merveilles (en 3-D) de Tim Burton le 7 avril, le Printemps Haussmann a invité une dizaine de créateurs à relooker Alice.
Nous découvrirons du 1er février au 13 mars les tenues imaginées par les créateurs pour Alice, dans les vitrines du Printemps Haussmann.






Il y a soixante-cinq ans Auschwitz était libéré : Exposition à Pithiviers...

Exposition "Les commémorations à Pithiviers et à Beaune-la-Rolande de 1946 à nos jours" jusqu'au 29 janvier au Théâtre du Donjon de Pithiviers.

Les camps d'internement de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande dans la mémoire locale : Dès le mois de mai 1946, les associations de survivants et les municipalités de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande organisent une cérémonie en mémoire des plus de 16000 juifs internés dans ces deux villes et assassinés à Auschwitz. Chaque année, plusieurs centaines de personnes se rendent dans ces deux localités. Chaque année, les autorités politiques, administratives et militaires sont présentes. La presse locale rend compte chaque année de ces manifestations du souvenir. L'ensemble de ces articles est présenté lors de cette exposition. Leur lecture permet d'analyser le travail de mémoire à l'oeuvre dans ces deux villes durant toutes ces années.

Crédit photo SIPA

Il y a soixante-cinq ans, une unité de l’armée soviétique découvrait, en Pologne, la plus importante usine d’extermination des Juifs construite par les nazis. Dans l’après-midi de ce 27 janvier 1945, les soldats de l’armée rouge empêchaient qu’un commando SS ne détruisent à Auschwitz les preuves de la Shoah.

Le 27 janvier 1945, il y a soixante-cinq ans, guidé par un résistant juif français évadé, Raphaël Feigelson, une unité de la 97e division de la 60e armée soviétique pénétrait dans l’après-midi à Auschwitz. Là, au milieu de la glaciale plaine polonaise, à 60 kilomètres au sud de Cracovie, les soldats de l’armée rouge découvraient l’innommable : environ trois mille ombres, malades, à bout de force, affamées, des cadavres par centaines, ainsi qu’un gigantesque conglomérat industriel de mise à mort d’êtres humains. Il était temps. Des SS commençaient à en détruire les installations pour éviter toute trace de ce qui restera comme une tache dans l’histoire de l’humanité.

mardi 26 janvier 2010

Les Enfants modèles au Musée de l’Orangerie...

Les Enfants modèles, de Claude Renoir à Pierre Arditi jusqu'au 8 mars 2010...

Nombreux sont les enfants qui ont posé pour leurs parents artistes, père ou mère, que ces derniers soient sculpteurs (Belmondo, Petit, Carrière) ou peintres (Cézanne, Renoir, Picasso, Lempicka, Denis, Redon, Derain, Arditi). Cette exposition et son catalogue se proposent de partir à la découverte de leurs expériences de « jeunes modèles », de ces séances de pose qui furent de bons ou de moins bons souvenirs. Certains furent turbulents comme Jean-Paul Belmondo, d'autres « sages comme des images » ; d'autres relatent des moments insolites comme l'académicien Jean-Marie Rouart, réveillé en pleine nuit, par un père attaché à dessiner son visage d'ange, scrutant dans son sommeil à l'aide d'une lampe-torche puissante et effrayante.

Dans tous les cas de figure, ces témoins familiers gardent un souvenir précis et émouvant de ces moments particuliers partagés avec des parents artistes pour lesquels ils confessent toujours une grande admiration.

Le principe de l'exposition est de présenter le portrait de l'enfant – sculpture ou peinture – avec en regard son impression personnelle de ce moment de «temps arrêté», sous la forme d'un texte écrit par lui-même ou d'une interview.


Crédit photo © ADAGP, La Boxe de Maurice Denis, Collection particulière

lundi 25 janvier 2010

Le Printemps du Baroque...

Du 28 janvier au 1er mars 2010 : Musique filmée, Concerts, Conférences, Oeuvre en scène, Littérature

Après Wagner en 2006 et Beethoven en 2008, la biennale « Classique en images » traite, pour la première fois, d’une période musicale, celle du baroque. En quelques décennies, après la Seconde Guerre mondiale, une vision nouvelle du baroque s’est peu à peu imposée sous l’impulsion d’interprètes et de musicologues.

C’est ce printemps des anciens dont nous évoquons l’avènement en mélangeant archives et documents récents, documentaires et fictions. Cette célébration du baroque a lieu en présence de William Christie, de Jordi Savall, de Jean-Claude Malgoire et se prolonge grâce à un rassemblement unique d’archives télévisuelles et cinématographiques, par un hommage aux interprètes qui ont présidé à cette résurrection.

Un programme spécial permet ainsi d’entendre les grandes voix du baroque – Arthur Deller, James Bowman, Paul Esswood – et les clavecinistes et gambistes qui ont fait revivre des instruments relégués dans les réserves des musées instrumentaux.

« Classique en images » célèbre également les grandes dates qui ont marqué la redécouverte de l’opéra baroque : Atys de Lully à l’Opéra Comique, Les Boréades de Rameau à Aix-en-Provence, le Couronnement de Poppée de Monteverdi par Ponnelle et Harnoncourt à Zurich.



Le cinéma a également joué un rôle important dans ce printemps du baroque, comme le rappellent les projections de la Chronique d’Anna Magdalena Bach de Jean-Marie Straub ainsi que de Tous les matins du monde d’Alain Corneau.

Plusieurs séances sur les points clés de cette redécouverte enrichissent cette édition de « Classique en images » de rapprochements avec la peinture et la littérature.

Enfin, les quatre concerts qui accompagnent la biennale permettent de découvrir des œuvres de Moulinié et la reconstitution de Vêpres à la Vierge du compositeur romain Mazzocchi ; ils mettent en regard musique profane et œuvres sacrées de Lully et de Du Mont.

Musique filmée
Cette programmation met en évidence l’évolution qu’a connue notre perception du baroque avec trois générations d’interprètes au travers d’archives souvent inédites mettant en scène les précurseurs (Wanda Landowska, Karl Ristenpart, Ralph Kirkpatrick), les pionniers (Alfred Deller, Gustav Leonhardt, Nikolaus Harnoncourt, William Christie) et les héritiers (Fabio Biondi et le baroque italien).
Cette confrontation dépasse le classique dialogue à deux voix – les modernes commentent le style des anciens – et permet un récit à trois voix où les pionniers, notamment, réagissent à la manière dont leur legs a été repris par leurs héritiers.

Le programme s’ouvre sur un hommage, en sa présence, à William Christie et aux Arts Florissants. Comme toujours, « Classique en images » privilégie l’audiovisuel, avec des archives rares, des inédits. Mais cette édition donne aussi une place importante au cinéma, à la mesure du rôle qu’il a joué dans la redécouverte du baroque.
En témoigne une journée consacrée à Tous les matins du monde en présence de Jordi Savall, qui interpréta à la viole de gambe la musique de ce film d’Alain Corneau. Lire Ici pour plus d'informations.

dimanche 24 janvier 2010

Ave Maria de Charles Gounod : Clin d'oeil à tous les mélomanes...



L’Ave Maria est une mélodie de Charles Gounod. À l'origine, cet air est une improvisation de Gounod au piano sur le premier prélude du premier livre du Clavier bien tempéré de Bach. À partir de cette improvisation, le grand pianiste Zimmermann, futur beau-père de Gounod, réalisa une version pour violon accompagné par un petit chœur.

Ce n'est que plus tard que fut réalisé l'arrangement pour violon (ou violoncelle) et piano (ou harmonium) sous le titre de « Méditation », destiné à être joué en concert. C'est encore Zimmermann et l'éditeur Heugel qui éditeront la partition de ce qui allait devenir l’« Ave Maria de Gounod ». En effet, Zimmermann confia cette mélodie à la voix en adaptant le texte de la version latine classique de l’Ave Maria.

Vu quelque part à Nibelle...

La curiosité n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau, mais pour ce qui est rare, unique, que les autres n'ont point ; ce n'est pas un amusement mais une passion. (François de La Rochefoucauld)

Ma curiosité est insatiable. En effectuant une visite impromptue chez une amie, l'occasion de prendre le thé et de discuter de tout et de rien, j'ai découvert cette belle sculpture multicolore à la féminité exubérante et joyeuse. Mais connaissant ses talents dans la création et la décoration, cela ne me surprend pas du tout. Ça vous rappelle quelque chose ?



Crédit photos Baudouin NG.

Les danses en Afrique : Un élément essentiel du patrimoine culturel...

Dans les sociètés traditionnelles africaines, les événements sont considérés comme étant l'affaire de tous, même s'ils affectent plus particulièrement tel individu ou telle famille.
Ainsi il existe divers procédés qui consistent, pour un individu à extérioriser ce qu'il ressent, la communication et l'expression sont extrêment liées. Il en résulte une codification des moyens d'expression. Ces comportements sont codifiés par des règles qui sont intégrées depuis l'enfance. Les moyens possibles sont la musique, les cris, les paroles, les danses, auxquels s'ajoutent souvent les moyens plastiques par la présence des masques et d'accessoires divers.

Les danses en Afrique sont multiples et diverses correspondant à la diversité et la multiplicité des Régions, ethnies et Pays d'Afrique. Chaque pays d'Afrique s'appuie sur une gestuelle, une rythmique différente, pour exprimer des choses aussi essentielles que le sens de la vie. Elles sont la manifestation de l'âme, elles peuvent rendre compte de toutes les situations personnelles ou collectives, elles permettent d'interpréter des figures vivantes, défuntes, animales ou totémiques.
Leurs dénominateurs communs et leurs caractères sont orientés et dédiés à un rituel, à une tradition ou plus généralement à une divinité.

Elles naissent d'une part de la prise de conscience par l'homme de son unité avec Dieu et d'autre part, des efforts volontaires ou inconscients qu'il doit déployer pour rester à l'unisson du rythme de Dieu. Elles s'éfforcent d'offrir à l'homme, la grande réconciliation de la tête et du corps, de la pensée et de l'instinct, par la libération du geste et l'abandon au rythme.
En d'autres termes, les danses en Afrique constituent une démarche qui conduit l'homme au plus profond de lui-même, à la découverte de ses qualités latentes, à l'épanouissement de sa personnalité, à la fois sur le plan physique, intellectuel, social, thérapeutique et spirituel.



Les danses en Afrique sont un mode de vie :
A chaque moment elles sont utilisées pour raconter, communiquer ou plus simplement pour vivre, elles sont une composante majeure de la vie sociale. Elles font donc partie de la vie quotidienne du village, elles sont complètement intégrées aux activités. Elles sont constituées d'un ensemble de danses originales qui convient à toutes les circonstances et rythme les grands événements de l'existence.

Les danses en Afrique sont un élément essentiel du patrimoine culturel.
Elles sont l'expression vivante de sa philosophie et la mémoire de son évolution. Elles témoignent d'une connaissance et sont chargées de transmettre. Elles révèlent une grande diversité d'un continent, une richesse inestimable sur le plan symbolique, mystique et spirituel.
Elles constituent à la fois une histoire symbolique, une forme de méditation, un art de spectacle, un passe temps distrayant, un jeu, un sport, un art de vivre, une manière d'exprimer intensément les rapports de l'homme avec la nature, la société, un langage universel, un dialogue des civilisations, une thérapie.

Avec plus de force que le geste, plus d'éloquance que la parole, plus de richesse que l'écriture parcequ'elles expriment ce que l'être ressent au plus profond de lui-même, ces danses sont l'expression de la vie et de ses émotions permanentes(joie,amour,tristesse,espoir).
Il ne peut y avoir de danses en Afrique sans émotion.

Elles content l'inexprimable, elles sont le lien entre le corps, la terre, la tête et le ciel. Il faut comprendre comme le dit Léopold Sédar Senghor "en Afrique, c'est la danse qui est au commencement de toutes choses. Si le verbe l'a suivi, ce n'est pas le verbe parler, mais le verbe chanter, rythmer. Danser, chanter, porter des masques constituent l'art total, un rituel pour entrer en relation avec l'indicible et créer le visible ". Source Danse Africaine.

Francis Cabrel : Le chêne liège...

Aujourd'hui, j'ai choisi d'écouter cette chanson de Cabrel. Il n'y a pas de raison particulière, c'est comme ça. Je voulais aussi vous dire Merci. Merci, pour tous les mots que vous me laissez sur les commentaires du blog et sur ma messagerie.
Et en même temps, je me pose pour réfléchir à beaucoup de choses, entre autre à cette citation de Martin Luther King :
"La véritable grandeur d'un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu'il traverse une période de controverses et de défis". [Martin Luther King dans Extrait de La Force d'aimer]


La jacinthe : Je l'aime en secret...

Le don de fleurs existe dans la plupart des civilisations, qu'il constitue un cadeau ou un acte religieux. Dans certaines cultures, on accorde aux fleurs une symbolique particulière, en donnant à chacune une signification. Ainsi, la composition d'un bouquet peut être guidée par des questions de couleurs et de parfums, ou par le sens accordé à chaque fleur. Par exemple, la rose rouge sert à déclarer sa flamme.

Les significations des fleurs ont évolué au cours du temps et ne sont pas les mêmes selon les cultures. De plus, non seulement les fleurs mais aussi leurs couleurs ont une signification : la blancheur a une connotation de pureté, le rouge montre la passion, le jaune trahit une infidélité, le bleu souligne l'amitié...
Un bouquet peut aussi servir à fixer un rendez-vous dont l'heure est précisée par le nombre de fleurs...


Crédit photo Education environnement

La première Jacinthe est originaire de la région Est de la Méditerranée, selon la légende, c'est en Grèce qu'elle aurait été créée. Dans la mythologie, la Jacinthe serait née du sang de Hyacinthe, jeune homme tué par Zéphyr lors d'un lancer de disque. Apollon, peiné par cette tragédie, aurait faite naître une Jacinthe rouge du sang de Hyacinthe pour qu'il puisse revivre éternellement.

Pendant longtemps, ces jolies fleurs étaient associées à l'élégance, mais aujourd'hui la Jacinthe évoque avant tout l'insouciance, elle aussi symbole de la simplicité.

Jacinthe blanche : joie de cœur, heureux de vous aimer. Bienveillance. Soyez bonne.
Jacinthe bleue : joie de cœur, l'espoir que vous me donnez me ravit. J'ai des soupçons. Exprime aussi l'espoir et l'attente patiente de la personne aimée.
Jacinthe jaune : joie de cœur, mon amour vous rendra heureuse.
Jacinthe pourpre : chagrin
Jacinthe rouge : exprime la joie de l'amour avec une pointe d'érotisme.
Jacinthe sauvage : constance.


Crédit photo Education environnement

samedi 23 janvier 2010

La Poneyvasion : Bientôt au Centre Equestre La Grange Ménard à Nibelle...

Pour la douzième année consécutive, des enfants et adolescents présentant des pathologies diverses, hospitalisés à l'hôpital Robert Debré et au Centre Pédiatrique de Rééducation de Bullion, bénéficient d'un week-end équitation au Centre Equestre La Grange Ménard à Nibelle.(Loiret 45)
Cette année, 25 jeunes patients âgés de 6 à 14 ans, participent à ce séjour aui aura lieu du 19 au 23 février 2010.

La Poneyvasion, organisée par l'Association Robert Debré, en partenariat avec les équipes du CHU Robert Debré, témoigne d'une volonté d'ouverture sur l'extérieur.
C'est l'occasion de déplacer l'hôpital hors de ses murs, puisque les patients sont accompagnés de leur équipe de soins (médecins, paramédicaux, éducateurs...), l'occasion de partager avec d'autres des instants de bonheur, de rire, de chanter...


Crédit photos Centre Equestre La Grange Ménard

Durant 4 jours, les jeunes patients vont pratiquer l'équitation. Encadrés par des moniteurs diplômés d'Etat, ils vont en petit groupe, au manège, découvrir leur monture (cheval ou poney), appendre les gestes, les positions élémentaires.
Ils apprendront progressivement à surmonter leurs appréhensions, à contrôler leurs émotions, à anticiper les réactions de leur monture. Ainsi, ils vont engranger de nouveaux apprentissages, de nouvelles réussites, qui conduiront au développement d'une meilleure image de soi.
D'autres activités sont mises en place : ballades en calèche, en 4x4, activité pêche, découverte de la forêt, visite d'élevages...

Cette aventure aura lieu grâce au généreux soutien des partenaires ci-dessous : Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, Lions Club Conflans Montjoie, Rotary Club d'Argenteuil et Cormeilles en Prisis, ACEF Rives de Paris, MAEF et la Société Générale.



Crédit photos Centre Equestre La Grange Ménard

Bon week-end...

Crédit photo Paradis express

vendredi 22 janvier 2010

Mille lectures d’hiver à la bibliothèque de Nibelle...

Il s’agissait de la 4e édition d’une animation de lecture...

Dans le cadre de l’opération « Mille lectures d’hiver » initiée par la Région et le Livre au Centre, les Amis de la Bibliothèque de Nibelle nous proposaient d’écouter la lecture faite par le comédien-lecteur Bruno de Saint Riquier du livre « Les Oiseaux d'Auschwitz » de l'Allemand Arno Surminski, ce vendredi 22 janvier 2009 à 19h dans la bibliothèque de Nibelle, transformée pour l'occasion en un lieu rappelant une atmosphère feutrée de boudoir d'antan.

Nous étions une bonne vingtaine, confortablement installés, pour écouter Bruno de Saint Riquier nous faire une belle lecture d'une bonne heure environ, dans laquelle il nous a captivé et nous a fait entrer dans une histoire de la relation forte naît entre un detenu et son chef nazi dans le camp d'Auschwitz.
Une discussion avec Bruno de Saint Riquier complètait la lecture autour d’un apéritif-dînatoire confectionné par les convives.





Crédit photos Marie-Christine Larrivière

Comment s'organisent les « Mille lectures d’hiver » ?
L’histoire est simple. Elle se déroule en hiver.
Une personne, que nous appellerons « accueillant », invite quelques humains un peu curieux à partager un moment convivial. Ils sont une vingtaine, dix au minimum, trente au maximum. Ce sont des amis, des parents, des lycéens, des cousins, des voisins ou des collègues qui sont conviés à écouter le texte d’un écrivain vivant édité, français ou étranger. Chacune des mille lectures d’hiver se déroule en deux temps.
Après la lecture qui dure une heure environ, la rencontre se poursuit par une « après-lecture » pour un échange à bâtons rompus des auditeurs avec le lecteur. L’après-lecture est agrémentée d’une collation, d’un buffet ou d’un repas auquel chacun des invités aura contribué selon son envie. L’accueillant offre le gîte et le couvert au lecteur. Il choisit ses convives, le lieu et l’heure de la lecture. Il ne choisit pas l’écrivain qui sera lu.

Les mille lectures d’hiver sont liées à la découverte de la littérature qui s’écrit aujourd’hui. Elles sont offertes à tous ceux, audacieux et aventureux, qui prennent un peu de leur temps pour s’ouvrir aux mots du poète dits à voix haute. L’accueillant et ses invités sont ou ne sont pas des familiers du livre et de la lecture. Seul compte le désir de se retrouver, d’entendre le texte d’un écrivain et d’en parler. Lire ICI.


Mot de l'éditeur :
Étudiant polonais en art, Marek Rogalski est déporté à Auschwitz en 1940. Parmi le personnel du camp, il rencontre un soldat SS un peu particulier : Hans Grote, ornithologue dans la vie civile qui a obtenu l’autorisation d’étudier les oiseaux qui survolent Auschwitz véritable observatoire des flux migratoires. Il choisit Marek qu’il a vu dessiner pour l’assister et réaliser des esquisses des volatiles à l’extérieur du camp. Une relation forte et pudique naît entre Marek, le détenu, qui cherche encore et encore des raisons à son enfermement et Grote, le nazi, droit et loyal à l’extrême, convaincu de la légitimité des ordres imposés par le régime.

Leurs excursions, notamment près du site de construction d’un nouveau camp, tout proche, Birkenau, attraction pour les corneilles, curieuses, deviennent un prétexte pour fuir l’horreur du camp et pour les confidences sur Elisa, la fiancée de Marek, sur les oiseaux que Hans veut faire empailler pour ses enfants. Les Oiseaux d’Auschwitz est une fiction basée sur la réalité des camps, la rencontre de deux hommes opposés, réunis par une passion commune. Un texte poétique et émouvant.

Les fleurs animées vues sur le net...

De façon plus immédiate, l'hiver peut être perçu comme la période froide de l'année. Dans cette approche météorologique, l'hiver s'étend environ sur les mois de décembre, janvier et février dans l'hémisphère nord, et de juin, juillet et août dans l'hémisphère sud. Il peut être également possible de définir simplement que l'hiver débute quand la température devient durablement froide et qu'il se termine lorsqu'elle se réchauffe.

Les plantes annuelles ne survivent pas à l'hiver. De nombreuses petites plantes vivaces profitent de l'effet isolant de la neige en étant recouvert par elle. Les plus grandes plantes, tout particulièrement les feuillus, laissent généralement leurs parties supérieures au repos et leurs racines protégées par une couche de neige. Peu de plantes éclosent pendant l'hiver, mais quelques exceptions existent comme l'abricotier du Japon qui fleurit vers le nouvel an chinois.

Il n’y a aucune saison au jardin qui soit totalement dénuée de fleurs ou d’autres sources de couleurs. En attendant on peut admirer ces magnifiques gravures de fleurs animées.


Belle de nuit

Lys

Lin

Guimauve

Marguerite

Scabieuse et Souci

Grandville, après avoir écrit les Animaux peints par eux-mêmes, voulut donner aux fleurs le visage, le costume et les moeurs de la femme ou plutôt de la Parisienne. Il a procédé à la création de cet herbier costumé avec les qualités et les défauts qui lui sont propres (Les Fleurs animées gravées par Geoffroy). Voir ICI

Accès aux études supérieures en art et en culture : Constat...

Une inégalité dans l’accès aux études supérieures en art et en culture
Les jeunes n’ont pas tous, ni partout, le même accès à l’éducation supérieure, et tout particulièrement aux filières artistiques, culturelles et de la mode. Faute d’information ou d’orientation, par manque d’accompagnement, par autocensure (« ce n’est pas pour moi »), beaucoup de lycéens de milieux défavorisés s’arrêtent au Certificat d’Aptitude Professionnelle ou au baccalauréat. Et, s’ils souhaitaient poursuivre des études artistiques, les classes préparatoires postbac arts graphiques ou arts appliqués, qui pourraient les préparer aux écoles d’arts, sont en grande majorité privées. L’entrée dans les écoles supérieures d’art, d’artisanat d’art ou de la mode reste donc élitiste. Cette inégalité devrait être combattue dès le lycée, au moment où les choix d’orientation s’opèrent, et où il est encore possible de préparer les étudiants aux épreuves de sélection de l’enseignement supérieur.

Que proposer ?
Il existe de nombreuses façons de pallier les carences de ces étudiants défavorisés, parmi lesquelles :
*Mettre en œuvre un programme d’éveil et d’exposition aux métiers d’art et de la culture : visite de musées et de galeries, rencontre avec des designers, artisans et professionnels de renom, découverte des pratiques artistiques par des stages et des ateliers de formation. C’est ce qu’ont mis en œuvre la plupart des sites d’excellence situés dans les quartiers prioritaires.

*Préparer la mise à niveau des élèves aux concours très sélectifs des établissements de l’enseignement supérieur, à travers un accompagnement pédagogique dédié. C’est le but des classes préparatoires artistiques ou des classes de mise à niveau arts appliqués (MANAA).

*Mettre à leur disposition les informations d’orientation nécessaires relatives à leurs filières (journées portes ouvertes des écoles, forums, etc.).
L’objectif de ces initiatives est d’encourager les jeunes talents à poursuivre des études supérieures d’art, d’artisanat d’art ou de formation aux métiers du spectacle : classes de mise à niveau arts appliqués (MANAA), classe préparatoire littéraire à option artistique, BTS (BTS Art céramique, BTS design d’espace ou design de mode, BTS métiers de l’audiovisuel, BTS photographie, etc.).

Ces étudiants pourront, après ces classes préparatoires et BTS de mise à niveau, intégrer de grandes écoles d’arts plastiques ou des filières d’excellence. (Source)


Crédit photo RMN, Vizzavona François Antoine 1876-1961, Le sculpteur Simone Achalme travaillant dans son atelier en compagnie de son modèle

Roosevelt Sykes : Que des souvenirs...



Roosevelt Sykes est né à Elmar l'Arkansas, et à l'âge de 15 ans, il commence à jouer du piano, dans un style "blues barrelhouse" (que l'on peut traduire par "blues western") à différents endroits. Roosevelt Sykes a eu une longue carrière et a créé beaucoup de standards de danse, comme "44 Blues", "Night Train" ou "Peeping Tom". Il continue d'enregistrer jusque dans les années 1970 et termine sa vie à la Nouvelle-Orléans.
Il a eu une grande influence sur Memphis Slim.

Risquer...

Rire, c'est risquer de paraître fou...
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental...
Tendre la main, c'est risquer de s'engager...
Montrer ses sentiments, c'est risquer de s'exposer...
Faire connaître ses idées, ses rêves, c'est risquer d'être rejeté...
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour...
Vivre c'est risquer de mourir...
Espérer, c'est risquer de désespérer...
Essayer, c'est risquer de défaillir...
Mais nous devons en prendre le risque !
Le Plus grand danger dans la vie est de ne pas risquer.
Celui qui ne risque rien... ne fait rien... n'a rien...
N'est rien !! (Rudyard Kipling)


Crédit photo RMN (Photographe inconnu), Des enfants se risquent à regarder au-dessus du Mur de Berlin dans le quartier de Kreutzberg, Localisation Berlin Allemagne.

Mariah Carey - Always Be My Baby : Un peu de douceur dans ce monde de...

Rétromobile 2010 : Exposition à la Porte de Versailles...


Pour sa 35ème édition, Rétromobile vous donne rendez-vous du 22 au 31 janvier 2010 à Paris, pour 10 jours de passion et de rêve autour des véhicules de collections. C'est pour la même occasion, les 100 ans d’Alfa Roméo, 200 ans de Peugeot, deux siècles de locomotion urbaine, une vente aux enchères le 23 janvier 2010 et une Bourse des collectionneurs le week-end du 30 au 31 Janvier 2010.
Crédit photo Archives
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