lundi 28 décembre 2015

A propos de Chœurs Éternels ...

J'ai transmis il y a peu de temps le dernier texte pour alimenter le site de Chœurs Éternels que vous pouvez, dès à présent, consulter sur Internet en cliquant ici www.choeurseternels.com

Le 6e concert de Chœurs Éternels aura lieu le dimanche 26 juin 2016 à Pithiviers en l’Église St-Salomon St-Grégoire

A propos de Chœurs Éternels :
C’est à l'âge de 11 ans que Laurent Coignard découvre la 21ème symphonie de Mozart pour piano et orchestre. Plus tard, lorsqu'il a 16 ans, en découvrant au Théâtre des Arts de Rouen, une représentation de la gaité parisienne de Jacques Offenbach, il prend l'habitude de passer beaucoup de temps à l'opéra dans les répétitions d'opéra célèbre. Une passion pour la musique classique est donc née.

Cette passion se partage. Et cet homme au grand cœur décide quelques années plus tard d’organiser des concerts en Normandie où ses parents sont installés. C’est ainsi qu’est né Chœurs éternels. À l’église Notre-Dame de Bon-Port de Quillebeuf en Normandie, il organise quatre concerts avec plus ou moins de succès.

Installé par la suite dans le Loiret, c’est par pur hasard, en visitant l’église Notre-Dame de Boiscommun que Laurent Coignard a eu l’idée d’y organiser des concerts. Il fait alors appel à des grands chefs, Patrick Marie Aubert ancien chef de chœur de l’opéra de Paris puis récemment Andrei Feher, chef d’orchestre, pour diriger les Chœurs éternels. Il fait aussi appel à des cantatrices de renommée internationale, la soprano Aline Kutan et la mezzo-soprano Delphine Haidan, et à des interprètes – instrumentistes et choristes appartenant pour la plupart, aux Orchestres de l’Opéra Bastille et de l’Opéra Garnier ainsi qu’au Chœur national de Radio-France – qui sont un gage de professionnalisme au plus haut degré de qualité.

La volonté de Chœurs éternels a toujours été de faire tomber les préjugés sur la musique classique par le choix d’un répertoire qui rappelle au public des airs de musique classique que la plupart des gens ont entendu dans des films, des flashs publicitaires ou même des génériques d’émissions et qu’ils apprécient sans le savoir.

Les concerts de Boiscommun ont eu un succès immédiat et deviennent un rendez-vous incontournable.
Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture et habitué de ces concerts, écrivait récemment « Je pense d’ailleurs qu’il va falloir bientôt demander aux architectes du XIIIe siècle de prévoir une extension nouvelle de l’église de Boiscommun pour accueillir le prochain concert »

Ces concerts attirent chaque année des personnalités de tous horizons, des ambassadeurs, des ministres, des sénateurs, des députés, des personnalités et notables de la région ainsi que des personnalités du monde des arts et de la culture. En changeant le lieu du concert en 2016 à l’Église de Pithiviers, on espère déjà un concert encore plus exceptionnel que d’habitude...


Crédits Pierre Esteffe - 5e Concert Chœurs éternels à Boiscommun

Forêt photographiée...

Cet après-midi, à quelques heures d'intervalle, regard sur des photos prises quelque part en Sologne et d'autres prises dans la forêt domaniale d'Orléans. Ces mêmes photos ont fait l'objet d'une longue conversation qui nous convainc que la forêt est sans nul doute un lieu d'une beauté et d'une harmonie incomparable. J'ai développé au fil des ans une véritable passion pour ce lieu, qui m'inspire à l'infini.

La forêt est l’un des lieux qui est le plus photographié, les archives de l'office national de la forêt abritent un patrimoine jusqu’alors insoupçonné de collections photographiques de grande importance historique, il n’y a pas de vérité définitive dans la manière de regarder une forêt car il appartient bien à chaque personne, à chaque génération, à chaque promeneur, à chaque photographe, bien sûr, d’y projeter sa curiosité, son émotion, sa sensibilité, sa culture...


En Sologne...





En forêt d'Orléans...




Crédits Annie G. / Baudouin NG - Forêt solognote et forêt d'Orléans, décembre 2015

lundi 30 novembre 2015

Actrices (1900-1918) : Exposition à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé

Actrices (1900-1918) : Exposition à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé du 1 décembre 2015 au 20 février 2016...
Au début du 20ème siècle, s’il y a bien un métier où les femmes ont pu trouver leur place (quoique toujours moins bien payée que les hommes, même 100 ans plus tard) c’est sur scène et dans les films.

La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, spécialisée dans la préservation et la promotion des films muets, rend hommage aux actrices de 1900 à 1918 avec une nouvelle exposition qui explore le monde de ces égéries, à la fois une inspiration pour et inspirées par l’époque.

Crédits Fondation Jérôme Seydoux-Pathé - Baigneuse inconnue

S’inspirant du théâtre et de la littérature, le cinéma leur créaient des rôles de danseuses, fées ou aristocrates, tantôt sérieuses tantôt comiques, dans des scénarios plutôt classiques. Il n’empêche que certains sont devenues de véritables célébrités parisiennes, et les images (affiches, photos...) véhiculées par elles sur des affiches ont marqué la société, donnant un avant-goût de la condition féminine de la Belle-Epoque. Lire aussi ici

Escapade nocturne à Orléans

L'autre soir, après un repérage dans les boutiques pour les cadeaux de noël, escapade nocturne à Orléans pour visiter le marché de noël. J'ai regardé les stands de commerce et les animations mais aussi j’ai préféré observer les gens.
J'ai vachement relativisé. Depuis quelques jours, j’apporte un peu de bonheur en donnant des cours particuliers à domicile à deux adolescents qui en ont vraiment besoin. J’accrois leur espérance de vie professionnelle future (sourire). Je créée du sens. Quand on se sent aussi « essentiel », c’est presque naturellement qu’on est amené à se prendre pour un gourou.

Alors qu’en fait quand on sort de ce contexte, on se rend compte que le grand barnum continue : les génies de la technologie créent davantage pour nous inciter à consommer, les boites aux lettres sont inondées de publicité, le chômage bat des records, les restos du cœur ouvrent bientôt pour nourrir des milliers de personnes démunies, les politiques continuent à s'affronter pour les prochaines élections régionales, les migrants continuent à arriver en Grèce, les frappes françaises s'intensifient en Syrie, la COP21 mobilise autant de contestataires, le PSG gagne son match, l'Hermine, une comédie dramatique du réalisateur Christian Vincent, attire du monde au cinéma...

La vie continue... Et on se rend compte qu’on n’est pas grand chose. Ça remet quelques petites choses en place au niveau de l’ego.
Alors moi je vous le dis : ça fait du bien de sortir un peu.


Crédits Agglo Orléans - La grande roue au marché de noël d'Orléans

dimanche 29 novembre 2015

Paris est une fête

Je prête à une amie le roman « Paris est une fête », souvenirs tendres et joyeux de l'écrivain américain Ernest Hemingway relatant son séjour dans la capitale française dans les années 1920. En réaction aux attentats du 13 novembre, « Paris est une fête », l'hommage d'Hemingway au Paris des années folles est relu, cité, recommandé et s'arrache dans les librairies...

« Paris est une fête » peut se lire comme un hommage à une ville, celle des années 1920, vibrante de culture. On croise les artistes qui fréquentent alors le quartier de Montparnasse, on rencontre la collectionneuse Gertrude Stein, le poète Ezra Pound...
« Tel était le Paris de notre jeunesse, au temps où nous étions très pauvres et très heureux », écrit Hemingway . « Paris valait toujours la peine, et vous receviez toujours quelque chose en retour de ce que vous lui donniez ».

Le livre déborde d'amour pour la ville de Paris vers laquelle il revint à de nombreuses reprises. C'est également un émouvant hommage à son premier amour, Hadley, qui apparaît délicieuse. Leur histoire passée est rapportée avec une belle tendresse et beaucoup de nostalgie pour cette passion exubérante et le livre se clôt sur le prélude de la rupture qui va séparer les époux.

Bonne lecture !


Crédits © Ernest Hemingway Collection /John F. Kennedy Presidential Library and Museum, Boston - Ernest Hemingway en Espagne dans les années 20

jeudi 26 novembre 2015

Triste journée...

Ce matin, un jour avant un hommage national aux victimes des attentats de Paris qui se tiendra aux Invalides, j'assiste aux obsèques émouvantes de Kévin, fils d'un ami cher, tué par les terroristes au Bataclan.

En ce moment, je pense à toutes les personnes que j’ai connues et aimées et qui sont mortes aujourd’hui, et qui ne peuvent plus savourer cette vie imparfaite et merveilleuse. Quelle tristesse !

mardi 17 novembre 2015

Splendeurs et misères. Images de la prostitution 1850-1910 : Exposition au musée d'Orsay

Splendeurs et misères. Images de la prostitution, 1850-1910 : Exposition au musée d'Orsay jusqu'au 17 janvier 2016...
Première grande manifestation consacrée au thème de la prostitution, cette exposition tente de retracer la façon dont les artistes français et étrangers, fascinés par les acteurs et les lieux de ce fait social, n'ont cessé de rechercher de nouveaux moyens picturaux pour en représenter réalités et fantasmes.

De L'Olympia de Manet à L'Absinthe de Degas, des incursions dans les maisons closes de Toulouse-Lautrec et Munch aux figures audacieuses de Vlaminck, Van Dongen ou Picasso, l'exposition s'attache à montrer la place centrale occupée par ce monde interlope dans le développement de la peinture moderne. Le phénomène est également appréhendé dans ses dimensions sociales et culturelles à travers la peinture de Salon, la sculpture, les arts décoratifs et la photographie. Un riche matériau documentaire permet enfin d'évoquer le statut ambivalent des prostituées, de la splendeur des demi-mondaines à la misère des "pierreuses".

Le musée vous informe que certaines des œuvres présentées dans l'exposition sont susceptibles de heurter la sensibilité des visiteurs (et tout particulièrement du jeune public). Lire aussi ici


Crédits © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) — Photo © Hervé Lewandowsk, Edgar Degas, Dans un café (L’absinthe), 1873

vendredi 6 novembre 2015

Les choeurs éternels sur écran géant...

Laurent Coignard, organisateur des concerts Choeurs éternels, avait programmé, samedi 24 octobre au soir, une projection privée du film réalisé par Thierry Barjonet lors de la 5è édition de l'événement.

Organisée en juin, en l'église Notre-Dame de Boiscommun, l'édition avait mis en scène 40 musiciens des orchestres des opéras parisiens Bastille et Garnier. Ainsi que 20 chanteurs du choeur national de Radio France, pour interpréter des oeuvres de Bellini, Bizet, Mozart, Offenbach, Puccini, Verdi...

La soprano canadienne, Aline Kutan, en était encore une fois la vedette. « Aline est exceptionnelle, s'enthousiasme Laurent Coignard. Elle fait partie du tout petit sérail des cantatrices capables d'interpréter, dans toute sa splendeur, Casta diva, le célèbre et très exigeant Aria de Norma (Bellini). »

La diffusion a réuni 80 invités dans la douce atmosphère de la salle des fêtes de Chambon-la-Forêt, où un apéritif dînatoire était servi en hors d''œuvre.

Avec Andrei Feher
Parmi les nombreuses personnalités du territoire, conviées à voir ou revoir, les moments forts du concert (sur grand écran), se trouvait Andrei Feher, chef d'orchestre de 24 ans, qui en assurait la direction cette année pour la première fois. « J'ai grand plaisir à rencontrer à nouveau le public local, dont j'ai beaucoup apprécié l'accueil et la qualité d'écoute lors du concert », indiquait le jeune musicien d'origine canadienne. (Article de Marie-Christine Larrivière de la République du Centre)

jeudi 29 octobre 2015

Pour prendre l'air...

Pas besoin d'aller loin de chez moi pour faire une petite promenade en forêt. C'est l'occasion de respirer l'air pur et contempler les couleurs de l'automne, avant d'aller m'approvisionner en fromage de chèvre chez l'éleveur local...






Crédits Baudouin N'G - Promenade en forêt d'Orléans, Octobre 2015

dimanche 25 octobre 2015

Louis Chedid - On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime

Le roi est mort : Exposition au Château de Versailles

Le roi est mort : Exposition au Château de Versailles du 27 Octobre 2015 au 21 Février 2016...
La mort du roi, roi-homme et roi-institution est un moment essentiel dans la construction de l’imaginaire monarchique. De l’agonie à la mise au tombeau, elle tient de la représentation, du grand spectacle baroque et joue un rôle fondamental pour la société de cour dont elle marque plus que jamais les rangs.

L’exposition – la première sur le sujet – s’applique avant tout à retracer les détails, étrangement peu connus, de la mort, de l’autopsie et des funérailles de Louis XIV, et à les replacer dans le contexte cérémoniel de celles des souverains européens de la Renaissance au siècle des Lumières. Elle évoque aussi la survie – souvent paradoxale – de ce rituel depuis la Révolution jusqu’à l’époque contemporaine.

Cette manifestation réunit des œuvres d’art et des documents historiques de première importance, issues des plus grandes collections françaises et internationales. Portraits d’apparat, statues et effigies funéraires, tombeaux, manuscrit du récit de l’autopsie du roi, pièces d’orfèvrerie du Trésor de Saint-Denis, médailles en or, emblèmes, ornements et mobilier liturgique des funérailles… les pièces exposées n’ont, pour certaines, jamais été présentées au public.

Crédits Affiche de l'exposition "Le roi est mort" : Exposition au Château de Versailles

La présentation de ces chefs-d’œuvre exige aussi de grands effets scénographiques. C’est au metteur en scène Pier Luigi Pizzi que Béatrix Saule, commissaire général de l’exposition, a fait appel pour illustrer ce grand spectacle baroque. En neuf sections, c’est à un véritable opéra funèbre orchestré par le créateur auquel assistera le public.

Le propos scientifique se fonde sur un programme international de recherches sur les funérailles royales dans les cours européennes, mené durant trois années au Centre de Recherche du château de Versailles sous la direction des professeurs Gérard Sabatier et Mark Hengerer, ainsi que sur la collaboration d’une équipe pluridisciplinaire allant du médecin légiste au liturgiste, de l’historien médiéviste au contemporanéiste. Lire aussi ici

lundi 19 octobre 2015

Revoir le concert des Chœurs Éternels

Laurent Coignard, organisateur des concerts Chœurs Éternels, nous donne rendez-vous à la salle des fêtes de Chambon La Forêt ce samedi 24 octobre à partir de 20h30 pour assister à la projection privée du film réalisé par Thierry Barjonet lors du cinquième concert des Chœurs Éternels en l'église Notre Dame de Boiscommun.
Andrei Feher, jeune chef d'orchestre qui a dirigé le concert de juin dernier sera parmi les nombreuses personnalités qui sont conviées à cette rencontre musicale, pour voir ou revoir les moments forts du concert sur grand écran.


Crédits DR - Concert Chœurs Éternels 2015 à Boiscommun

mercredi 7 octobre 2015

Chefs-d’œuvre d’Afrique dans les collections du musée Dapper : Exposition au musée Dapper

Chefs-d’œuvre d’Afrique dans les collections : Exposition au musée Dapper jusqu'au 16 juillet 2016...
Des œuvres figurant parmi les plus importantes au monde réunies pour la première fois. Remarquables par leur esthétique, elles témoignent des grandes cultures de l’Afrique.

Un hommage au Fondateur
Humaniste, Michel Leveau a quitté ce monde en novembre 2012 après avoir rempli la mission qu’il avait initiée il y a un peu plus de trente ans en créant la Fondation Dapper. Esthète, mais guidé par la rigueur scientifique, il s’était attaché à acquérir pour son institution des œuvres exceptionnelles. Certaines d’entre elles avaient appartenu auparavant à de grands noms qui ont marqué la reconnaissance des arts non occidentaux, Charles Ratton, Paul Guillaume, Jacob Epstein… Son but : contribuer à une meilleure connaissance des arts traditionnels de l’Afrique subsaharienne et sensibiliser un large public.

Une collection d’exception
Le fonds du musée Dapper se caractérise par la diversité des provenances géographiques et par l’ancienneté. L’exposition, qui comprend quelque 130 pièces, présente des œuvres majeures. Certaines sont uniques et n’ont aucun équivalent dans le monde, telles des sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu…), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou encore du Mali (Dogon, Soninke). Attendu depuis des années par le public, Chefs-d’œuvre d’Afrique permettra aux visiteurs de découvrir des pièces maîtresses qui puisent leurs significations dans les cultures de l’Afrique centrale ou dans celles de l’Afrique de l’Ouest.

Crédits © Droits réservés Musée Dapper Paris - Fang Gabon, Figure de reliquaire

Les œuvres racontent la vie
Les pièces exposées ont été sélectionnées en raison de leurs qualités plastiques, mais aussi pour les rôles qu’elles assurent dans les sociétés qui les ont vues naître. En effet, masques, statues, statuettes, autels, parures, armes et bien d’autres artefacts sont liés à des pratiques et des savoirs spécifiques. Leurs fonctions sont multiples. Certains objets étaient utilisés dans le cadre des initiations, celles des adolescents ou celles des hommes mûrs devant développer leurs connaissances ésotériques et / ou techniques. D’autres — parfois les mêmes — intervenaient lors de cultes destinés à rendre hommage aux ancêtres, à assurer la fécondité des femmes, la fertilité des terres ou à soigner. Lire aussi ici

mardi 6 octobre 2015

Picasso Mania : Exposition au Grand Palais

Picasso.Mania : Exposition au Grand Palais du 7 octobre jusqu'au 29 février 2016...
Après une année 2014 qui aura bien célébré la réouverture du Musée Picasso, la fin 2015 fête le lien de l’artiste avec les contemporains, au travers d’une exposition magistrale qui confrontera les points de vue.

Cent chefs d’œuvre de Picasso, dont certains jamais montrés, confrontés aux plus grands maitres de l’art contemporain, David Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat...
À la fois chronologique et thématique, le propos retrace les différents moments de la réception critique et artistique de l’œuvre de Picasso, les étapes de la formation du mythe associé à son nom. Aux grandes phases stylistiques, à certaines œuvres emblématiques de Pablo Picasso, telles que Les Demoiselles d’Avignon et Guernica, répondent les œuvres contemporaines de Hockney, Johns, Lichtenstein, Kippenberger, Warhol, Basquiat ou encore Jeff Koons. Lire aussi ici


Crédits Gjon Mili, Portrait of artist Pablo Picasso, 1948 © Gjon Mili/The LIFE Premium Collection/Getty Images © Succession Picasso 2015

jeudi 3 septembre 2015

Élisabeth Louise Vigée Le Brun : Exposition au Grand Palais

Élisabeth Louise Vigée Le Brun : Exposition au Grand Palais du 23 septembre 2015 au 11 janvier 2016...
Élisabeth Louise Vigée Le Brun est l’une des grandes portraitistes de son temps, à l’égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Issue de la petite bourgeoisie, elle va trouver sa place au milieu des grands du royaume, et notamment auprès du roi et de sa famille. Elle devient ainsi le peintre officiel de la reine Marie-Antoinette.
L’exposition, qui est la première rétrospective française à lui être consacrée, présente près de 130 oeuvres de l’artiste, construisant un parcours complet à travers un oeuvre pictural majeur et une grande page de l’histoire de l’Europe. Lire aussi ici

jeudi 27 août 2015

Séjour dans les Deux-Sèvres...

C'est dans la commune de Clussais la Pommeraie située dans le département des Deux-Sèvres en région Poitou-Charentes que mes enfants gèrent un gîte dans un lieu dit nommé " Le Ferfant ". Ici, la semaine dernière, j'ai passé un court séjour des plus agréables dans cette belle métairie authentique. C'est une charmante bâtisse de caractère avec une terrasse ouverte sur une piscine chauffée qui fait d'elle une location spacieuse de qualité, bien équipée et confortable.
Il s'agit là d'un endroit extrêmement paisible, bucolique et particulièrement beau où il fait vraiment bon vivre. Un vrai oasis de quiétude et de sérénité.

Ce gîte, avec son grand parc arboré, est situé en plein cœur de la campagne et dans une belle région à visiter, à proximité du Futuroscope, du Parc naturel régional du Marais poitevin, de la Rochelle et du Puy du Fou...

Voilà une adresse que je conseillerais sans aucune hésitation :
Les Amandiers
4 chemin des Métairies
79190 Le Ferfant.
Contact : Mlle Konc au 06 72 70 65 86.













Crédits Baudouin N'G - Gîte de Ferfant, Août 2015

Recette du bonheur...

Laisse de côté tous les chiffres non indispensables à ta survie. Ceci inclut l’âge, le poids, la taille. Que cela préoccupe seulement le médecin, il est payé pour ça.
Fréquente de préférence des amis joyeux, les pessimistes ne te conviennent pas. Continue de t’instruire... Apprends sur les ordinateurs, l’artisanat, le jardinage, etc… Ne laisse pas ton cerveau inoccupé, un mental inutilisé est l’officine du diable. Et le nom du diable est Alzheimer !
Ris le plus souvent possible, et surtout de toi-même! Quand viennent les larmes, accepte, souffre et... continue d’avancer.
Accueille chaque jour qui se lève comme une opportunité, et pour cela, ose entreprendre.
Laisse tomber la routine, préfère les nouvelles routes aux chemins mille fois empruntés !
Efface le gris de ta vie et allume les couleurs que tu possèdes à l’intérieur. Exprime tes sentiments pour ne jamais rien perdre des beautés qui t’entourent.
Que ta joie rejaillisse sur ton entourage et abats les frontières personnelles que le passé t’a imposées. Mais, rappelle-toi : l’unique personne qui t’accompagne toute la vie, c’est toi-même. Sois vivant dans tout ce que tu fais !
Entoure-toi de tout ce que tu aimes : famille, animaux, souvenirs, musique, plantes, un hobby... tout ce que tu veux...
Ton foyer est ton refuge, mais n’en deviens pas prisonnier. Ton meilleur capital,la santé. Profites-en, si elle est bonne ne la détruis pas, si elle ne l’est pas, ne l’abîme pas davantage.
Sors dans la rue, visite une ville ou un pays étranger, mais ne t’attarde pas sur les mauvais souvenirs.
Il y a des êtres qui font d’un soleil une simple tache jaune, mais il y en a aussi qui font d’une simple tache jaune, un véritable soleil.
(Pablo Picasso)


Crédits Museum of Modern Art, New York - Les demoiselles d'Avignon ; Pablo Picasso, 1907

samedi 15 août 2015

Escapade à Cerdon du Loiret...

Ce matin à Cerdon du Loiret en Sologne, rencontre avec mon amie Annie Gerard pour chiner dans la brocante du village et pour parler des projets qui nous tiennent à cœur : la prochaine exposition Art-Gens (Parcours d'art contemporain) à Cerdon avec des artistes de talent et aussi du prochain concert de musique classique que mon ami Laurent Coignard organise à l'église de Boiscommun avec les Chœurs éternels.
Avant de prendre un café à la terrasse du café, nous parcourons les pages une à une de l'ouvrage " Cerdon du Loiret, porte de la Sologne " de Cécile Richard (Auteur), Christian Beaudin (Auteur). Belle journée enrichissante et conviviale comme je les aime...


Crédits - Livre " Cerdon du Loiret, porte de la Sologne " de Cécile Richard (Auteur), Christian Beaudin (Auteur).

vendredi 14 août 2015

Le bonheur est dans la forêt...

Une journée entre soleil et averse : voilà ce que prévoyait Météo France dans notre région pour ce vendredi. La petite averse qu'il y a eue ne m'a pas empêché de m'arrêter dans la forêt domaniale d'Orléans pour prendre un bol d'air pur et confirmer par la même occasion que cet après-midi le bonheur était bel et bien dans la forêt...







Crédits Baudouin N'G - Promenade dans la forêt d'Orléans, Août 2015

Andy Warhol - Unlimited : Exposition au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris

Andy Warhol : Exposition au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris du 2 octobre au 7 octobre 2016...
A l’occasion de la première présentation en Europe des Shadows (1978-79) dans leur totalité, le Musée d'Art moderne de la Ville de Paris consacre une exposition exceptionnelle à Andy Warhol (1928-1987). Avec plus de 200 oeuvres, elle met en valeur la dimension sérielle de l’oeuvre de Warhol, aspect incontournable de son travail, et sa capacité à repenser les principes de l’exposition.

Conservée à la Dia Art Foundation, les Shadows, étonnant ensemble de 102 toiles sérigraphiées de 17 couleurs différentes se déploient sur une longueur de plus de 130 mètres. Elles rappellent de façon magistrale la capacité de Warhol à ébranler les conventions de l'art, depuis la conception des oeuvres jusqu'à leur mise en scène. A la question de savoir si elles étaient de l’art, Warhol répondait non : « ... on passait de la disco durant le vernissage, je suppose que ça en fait un décor disco ».

L’art de Warhol se présente comme un défi que l’exposition du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris étend à plusieurs séries comme les Electric Chairs (1964-1971), les Jackies (1964), les Flowers (1964-1965), les Maos (1972-1973).

La manière souvent controversée avec laquelle l'artiste mettait en scène son propre travail est au centre de toutes les interrogations qui légitiment cette exposition. On y retrouve le souci constant de l’artiste d'investir l'espace et le temps pour en remodeler notre perception.
Le visiteur est invité à se laisser submerger par l’accumulation des oeuvres d’Andy Warhol, des Self-portraits (1966-1967, 1981) aux Brillo Boxes (1964), des portraits filmés (les Screen Tests, 1964-1966) aux papiers peints les Cows (1966), des ensembles de Flowers aux frises de Maos, du cinéma expérimental (le célèbre film Empire de huit heures, 1964) aux Silver Clouds (1966), sans oublier les environnements spectaculaires des concerts du Velvet Undergound (l'Exploding Plastic Inevitable, 1966).

Crédits © Bill Jacobson Studio, New York. Courtesy Dia Art Foundation, New York © The Andy Warhol Foundation for the Visual Arts, Inc. / ADAGP, Paris 2015 - Andy Warhol, Shadows, 1978-79

Aussi encensé que critiqué, l'artiste possède toujours la capacité de bouleverser les attentes du visiteur et cela malgré la surmédiatisation à laquelle il a pratiquement toujours été exposé. Au-delà de son image superficielle de « roi du Pop Art », Warhol n’a eu de cesse de réinventer le rapport du spectateur à l’oeuvre d'art. Débordant sans cesse des cadres qu’on lui assigne, Andy Warhol s’impose comme l’artiste de la démesure. Quelles que soient les formes explorées, son rapport à l’oeuvre tend vers l’abolition des limites. Lire aussi ici

jeudi 2 juillet 2015

Chœurs Éternels à Boiscommun : Le concert qu'il ne fallait pas manquer

Cette cinquième édition du concert Chœurs Éternels à l'église Notre Dame de Boiscommun a tenu toutes ses promesses. Dans une église pleine à craquer, le jeune et talentueux chef d'orchestre de 24 ans à peine, Andrei Feher, a dirigé avec vivacité, élégance, retenue ou amplitude selon le moment les 40 musiciens de l'orchestre et les 20 choristes appartenant, pour la plupart, aux orchestres de l'Opéra Bastille et de l'Opéra Garnier ainsi qu'au chœur national de Radio-France, qui ont interprété avec brio un répertoire composé de pièces musicales et grands airs d'opéra dont des œuvres de Rossini, Puccini, Haendel, Mozart, Offenbach, Rameau, Verdi, Bizet, Bellini, Vivaldi, Elgar et Strauss.

Pour souffler les cinq bougies de Chœurs Éternels, Laurent Coignard invitait pour la troisième fois, la soprano canadienne Aline Kutan dont la voix exceptionnelle fait vibrer le public à chaque fois qu'elle revient à Boiscommun.

Si, pendant la représentation d’une de ses œuvres, Mozart ne s’attendait pas à d’autre chose que voir les gens chuchoter, manger, applaudir ou jouer aux cartes selon envie, la tradition a changé depuis. A Boiscommun, le public sait chaleureusement applaudir de façon spontanée à la fin d'une pièce musicale ou d’un air.
Ainsi, pour la première fois, à la demande de Laurent Coignard, le chef d'orchestre Andrei Feher, les musiciens et choristes ont applaudi le public pour cette affection attention particulière à leur égard.

Parmi les personnalités du monde de la culture ainsi que les personnalités locales qui assistaient au concert, on pouvait remarquer la présence de Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture et Défenseur des Droits et de Patrick Poivre d'Arvor.

Voici quelques clichés qui illustrent ces deux heures de pur bonheur passées en compagnie de Chœurs Éternels pour ce concert de qualité.
























Crédits Géneviève Mahaud / Pierre Esteffe - Chœurs Éternels à Boiscommun, Juin 2015
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