lundi 24 février 2014

Verdi - Wagner et l’Opéra de Paris : Exposition à la Bibliothèque nationale de France

Verdi - Wagner et l’Opéra de Paris : Exposition à la Bibliothèque nationale de France - Musée de l'Opéra jusqu'au 16 mars 2014...
Les relations tumultueuses entre Giuseppe Verdi, Richard Wagner et l’Opéra de Paris ont déjà fait l’objet d’expositions, notamment dans les murs du Palais Garnier, mais toutes ces manifestations ont porté l’attention de manière disjointe sur chacun des deux compositeurs dans ses rapports avec la « Grande boutique ». Pourtant, il s’agit bien de deux contemporains qui amènent à l’Opéra une nouvelle conception du genre lyrique et une nouvelle vision de la scène – leurs idées se rejoignent d’ailleurs pour partie – et qui ont affaire aussi aux mêmes hommes : c’est sous la même direction, celle d’Alphonse Royer (1856-1862), que Le Trouvère et Tannhäuser entrent au répertoire de l’Opéra, respectivement le 12 janvier 1857 et le 13 mars 1861.

Crédits Affiche de l'exposition Verdi - Wagner et l’Opéra de Paris

Ne convient-il pas de reconsidérer de manière croisée comment l’Opéra adopte les idées nouvelles qu’apportent ces deux compositeurs, comment il y résiste, comment il les transforme ? Les relations de Verdi et de Wagner avec l’Opéra obéissent aussi à des enjeux institutionnels, artistiques, économiques et politiques qui ne s’évanouissent pas avec le décès des deux compositeurs, bien au contraire : les ambitions artistiques et de modernité des directeurs, mais aussi les évolutions des rapports diplomatiques entre la France, l’Allemagne et l’Italie (à l’occasion notamment des deux conflits mondiaux qui marquent le XXe siècle) tout comme les mutations de l’économie du spectacle expliquent la dynamique qu’entretient le répertoire de l’Opéra avec les œuvres de Verdi et de Wagner.

À l'occasion du bicentenaire de la naissance des deux compositeurs, la Bibliothèque nationale de France et l'Opéra national de Paris s’associent donc pour montrer comment, de la première de Jérusalem de Verdi, en 1847, à la présentation du cycle complet de L’Anneau du Nibelung de Richard Wagner, en 2013, l’Opéra de Paris réexamine régulièrement la place que prend l’œuvre monumentale et réformatrice de Verdi et de Wagner au sein de son répertoire. Lire ici

Salon de l'agriculture : Exposition à la Porte de Versailles

Salon de l'agriculture : Exposition à la Porte de Versailles jusqu'au 2 mars 2014... Les organisateurs attendent quelques sept-cent mille visiteurs pour cette grande institution culturelle française, qui succède au concours général agricole, fondé en 1870. On y attend mille trois-cents exposants, quatre-mille animaux, et on ira y admirer les productions animales et végétales. Lire ici

Crédits Affiche Salon de l'agriculture : Exposition à la Porte de Versailles

samedi 22 février 2014

Bon week-end...

« Le chat est d’une honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non. » Ernest Hemingway

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vendredi 21 février 2014

Joséphine : Exposition au musée du Luxembourg

Joséphine : Exposition au musée du Luxembourg du 12 mars au 29 juin 2014...
À l’occasion du bicentenaire de sa mort, l’exposition rassemble souvenirs personnels et œuvres majeures provenant des prestigieuses collections d’art de l’impératrice Joséphine. Des origines créoles à son mariage avec Napoléon Bonaparte, de son rôle de souveraine jusqu’à sa vie après le divorce, les visiteurs sont invités à entrer dans l’intimité de Joséphine et à découvrir le rôle capital qu’elle a joué dans la constitution du style de l’époque consulaire et impériale.
L’exposition restituera l’image d’une femme moderne, passionnée par les voyages, la musique et les jardins, qui incarne encore aujourd’hui un destin hors du commun dans une société en pleine mutation.

Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux-Grand Palais en collaboration avec le musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau. Lire ici


Crédits © Rmn-Grand Palais / Gérard Blot - Pierre Paul Prud’hon, L’impératrice Joséphine (détail), 1805, huile sur toile, Paris, musée du Louvre

jeudi 20 février 2014

Circulation(s) — Festival européen dédié à la jeune photographie : Exposition au Centquatre-Paris

Circulation(s) — Festival européen dédié à la jeune photographie : Exposition au Centquatre-Paris jusqu'au 16 mars 2014...
Après trois années consécutives de succès, une reconnaissance toujours plus solide du public et de la critique, Circulations(s) prend un nouvel élan et s’installe au Centquatre-Paris, nouveau partenaire du festival. Dans ce lieu situé dans Paris intramuros et reconnu pour la qualité de sa programmation culturelle, le festival aura ainsi la chance d’être vu par le plus grand nombre.

Crédits © Todd Antony - Todd Antony, The Sun City Poms, 2014

Dédié à la jeune photographie européenne, le festival Circulation(s) propose pour la quatrième année un regard croisé sur l’Europe à travers la photographie. Il a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie européenne et de fédérer un réseau d’acteurs européens partageant la même ambition que celle de Fetart : aider les jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel et faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante.

La programmation s’articule autour de la sélection d’un jury suite à un appel à candidatures international, d’invités (une galerie et une école) et de la carte blanche du parrain de cette édition, Xavier Canonne, directeur du musée de la Photographie à Charleroi (Belgique).

Autour de cette exposition d’envergure réunissant 44 photographes européens, des activités pédagogiques (visites commentées par les artistes, projections) et des ateliers/workshops (lectures de portfolios) sont mis en place à destination du grand public et des jeunes photographes. Lire aussi ici

Envie...

A quatre heures, j'avais envie d'une tarte à la poire comme celle-ci mais nos envies ne sont pas toujours satisfaites comme on voudrait. Alors, ça sera pour la prochaine fois, je l'espère. Vous ne le savez sûrement pas, je suis gourmand de...


Pour apaiser mon envie, je me suis contenté de quelques croissants avec de la confiture. Pas facile de satisfaire ses envies comme on aimerait...


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mercredi 19 février 2014

« Chœurs Éternels » revient en concert à Boiscommun

Après avoir rencontré la soprano canadienne Aline Kutan le mois dernier au Canada, puis le chef de Chœur Patrick Marie Aubert mardi dernier à Paris, Laurent Coignard me confirme que le quatrième concert de Chœurs Éternels aura bien lieu le dimanche 22 juin 2014 en l'église Notre-Dame de Boiscommun dans le Loiret.

J'ai rendez-vous avec mon ami Laurent samedi prochain, et j'imagine déjà la surprise qu'il me réserve quant au choix du répertoire. Je pense que nous allons encore vivre un moment fabuleux avec cet événement musical devenu désormais incontournable dans le Loiret.


Possible escapade écologique...

Hier, sur Skype considéré comme l'un des outils de communication par voix de l'Internet les plus plébiscités, discussion avec Radar Nishuli, conservateur du parc national de Kahuzi-Biega situé à l'ouest du lac Kivu près de Bukavu en République Démocratique du Congo. Nous parlons de l'écotourisme qui est pour lui une arme pour protéger les gorilles et une façon d’alerter l’opinion publique afin que l’on déploie les moyens nécessaires à leur protection.

Aussi, les 700 derniers gorilles Silverback (gorilles à dos argenté) vivant dans la région de Bukavu au Congo sont menacés par l'exploitation des gisements de coltan (colombite-tantalite), minerai dont la République Démocratique du Congo concentre 80% des réserves mondiales, utilisé dans l'industrie de pointe et très prisé des fabricants de téléphones portables.

La préservation de l’espèce qui n’existe nulle part ailleurs que dans l’est du Congo devient de plus en plus prioritaire en s'appuyant entre autres sur l’écotourisme en amenant les touristes dans cette partie sécurisée du parc pour « éloigner » les mineurs exploitant illégalement le coltan. Lire aussi ici


On peut rêver d'un voyage de découverte dans cette région merveilleuse tant par sa faune, sa flore que par l’accueil de ses habitants et la seule région au monde où l’on peut approcher les gorilles dans leur environnement. Un voyage responsable où on peut découvrir tant de si belles choses tout en participant au renouveau de cette région qui a subi des décennies de troubles de toute sorte, guerres civiles, éruptions volcaniques, génocide au Rwanda voisin. Ces multiples catastrophes naturelles et humaines qui ont entraîné la région dans une situation socio-économique difficile qui a entrainé la population littéralement dans un état de survie.

Cette année marque le début d'une liste de changement que je souhaite s'opérer dans ma vie à l'aube de la retraite. A choisir entre la Bretagne que j'aime énormément et le Congo, mon pays d'origine, je serais tenté de choisir la deuxième destination pour admirer les gorilles des plaines et les protéger...

lundi 17 février 2014

Deux jours après la Saint-Valentin...

Hier, je lui ai dit, les yeux dans les yeux, par rapport à cette souffrance qui empoisonne sa vie de femme, que le bonheur n’est pas un luxe, mais une nécessité. Nous avons besoin du bonheur.
Parce que la vie est souvent belle : bonheur pour nous ouvrir les yeux. Parce que la vie est parfois dure : bonheur pour nous aider à faire face. Parce que c'est une nécessité d'avancer, sans jamais perdre le bonheur de vue.
Prendra-t-elle acte de ce message ? A la place de rester mère, acceptera-t-elle de devenir une vraie femme ? Dieu seul le sait !


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De la Chine aux Arts Décoratifs : l'art chinois dans les collections du musée des Arts décoratifs

De la Chine aux Arts Décoratifs : l'art chinois dans les collections du musée des Arts décoratifs jusqu'au 29 juin 2014...
L’exposition « De la Chine aux Arts Décoratifs » dévoile, pour la première fois, la qualité et la diversité exceptionnelles de la collection d’objets d’art chinois conservée aux Arts Décoratifs. Fruit d’acquisitions faites dans les premières décennies de l’institution, mais aussi de dons et de legs de collectionneurs généreux, cet ensemble remarquable traduit l’engouement pour l’art chinois en France, principalement dans la seconde moitié du XIXe siècle et le premier tiers du XXe siècle.
L’intérêt que ces donateurs ont eu pour les œuvres en provenance de Chine, et de manière plus large pour le Moyen-Orient et l’Extrême-Orient, réside souvent dans la fascination pour certaines techniques et matériaux, mais aussi pour leurs formes et leurs motifs.

Les pièces exposées sont une invitation à découvrir des savoir-faire artisanaux et à pénétrer un univers qui a attiré et intrigué, en renouvelant le vocabulaire ornemental français depuis les premières expositions universelles jusqu’aux périodes plus récentes.
L’attrait de l’époque pour ces œuvres est tel, que des publications de grande envergure comme celles d’Adalbert de Beaumont, Owen Jones et Eugène Victor Collinot, contribuent à la diffusion de ces registres décoratifs avec un impact significatif sur les métiers d’art européens. Lire aussi ici


Crédits Les arts décoratifs / Jean Tholance - Porcelaine avec décor en bleu de cobalt sous couverte, Achat Raoul Duseigneur, 1894, Musée des Arts décoratifs, Paris

Les secrets de la laque française - le vernis Martin : Exposition au musée des Arts Décoratifs

Les secrets de la laque française - le vernis Martin : Exposition au musée des Arts Décoratifs jusqu'au 8 juin 2014...
Les Arts Décoratifs mettent le XVIIIe siècle à l’honneur. En consacrant une grande exposition aux secrets de la laque française, le musée révèle l’engouement pour une technique qui incarne le luxe et le raffinement. Du plus imposant au plus discret, du plus somptueux au plus modeste : meubles, panneaux de boiserie, objets d’ameublement, boîtes et étuis, carrosses et traîneaux dessinent l’histoire d’une passion largement partagée par une clientèle parisienne et européenne, qui dépassa celle de la chinoiserie à laquelle cette production sacrifia.

La question particulière du Vernis Martin, expression que seuls les Français utilisent, pour parler de la laque, soulève de nombreuses interrogations qui trouvent ici, pour la première fois, des réponses étayées par de nombreuses études et exemples. Réalisée en collaboration avec le Lackkunst Museum de Münster en Allemagne, l’exposition, mise en scène par Philippe Pumain, réunit près de 300 objets. Lire aussi ici


Crédits Les arts décoratifs / Jean Tholance

Les Impressionnistes en privé - Cent chefs-d’œuvre de collections particulières : Exposition au musée Marmottan Monet

Les Impressionnistes en privé - Cent chefs-d’œuvre de collections particulières : Exposition au musée Marmottan Monet jusqu'au 6 juillet 2014...
Ouvert pour la première fois au public en 1934, le musée Marmottan Monet célèbrera son quatre-vingtième anniversaire en 2014. En moins d’un siècle, le musée a bénéficié de legs et de donations d’une envergure sans égale faisant de lui le dépositaire du premier fonds mondial d’œuvres de Claude Monet et de Berthe Morisot. Sans la générosité des collectionneurs et des descendants d’artistes, il ne serait pas devenu un haut lieu de l’impressionnisme. Conscient de cet héritage, le musée souhaite débuter les cérémonies de son anniversaire en rendant hommage aux collections privées.

Le musée Marmottan Monet présente ainsi du 13 février au 6 juillet 2014 une exposition intitulée : Les Impressionnistes en privé, réunissant exclusivement des œuvres en provenance de collections particulières. L’historienne de l’art, Claire Durand-Ruel Snollaerts et Marianne Mathieu, adjointe au directeur du musée Marmottan Monet chargée des collections, assurent le commissariat de cette exposition.

Cinquante prêteurs se sont associés avec enthousiasme à ce projet et ont accordé des prêts en provenance de France, des Etats-Unis, du Mexique, de Suisse, de Grande-Bretagne et d’Italie. Cette exposition offre l’opportunité unique au public de découvrir des tableaux pour la plupart jamais vus. Une centaine de chefs-d’œuvre impressionnistes constitue un ensemble d’exception. Quatre-vingt peintures et une vingtaine d’œuvres graphiques par Jean-Baptiste-Camille Corot, Eugène Boudin, Johan Barthold Jongkind, Édouard Manet, Frédéric Bazille, Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Edgar Degas, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Berthe Morisot, Armand Guillaumin, Paul Cézanne, Mary Cassatt, Eva Gonzalès et Auguste Rodin permettent de retracer une histoire de l’impressionnisme à travers des œuvres inédites

Crédits Affiche de l'exposition "Les Impressionnistes en privé - Cent chefs-d’œuvre de collections particulières"

Le parcours de l’exposition présente d’abord les prémices de l’impressionnisme. Il continue avec son éclosion vers 1874, puis avec les années 1880-1890 quand le groupe des impressionnistes se disloque pour laisser place au génie créatif de chacun de ses membres. Enfin, l’œuvre ultime de maîtres tels Pierre-Auguste Renoir, Camille Pissarro, Alfred Sisley et Claude Monet, qui, par bien des égards se situe au-delà de l’impressionnisme, ouvre une fenêtre sur l’art moderne et clôt la manifestation.

Cette exposition, unique et incontournable, témoigne de la présence et de l’engouement toujours vifs des maîtres impressionnistes au sein des collections privées. Lire aussi ici

samedi 15 février 2014

vendredi 14 février 2014

Il veut être candidat...

Ce midi, je reçois un coup de fil d'un ami qui veut se présenter aux élections municipales dans son village. Je ne comprends pas bien la raison de son engagement. Mais bon !

Je lui réponds comme ceci : « Si tu constates un manque de dynamisme dans ton village et que tu as tendance à participer aux activités des villages voisins, si tu veux que ton village retrouve ce dynamisme et ne devienne pas un village-dortoir, si tu vois que peu de personnes s'investissent dans la vie du village, si tu as pris l’habitude de faire tes courses à l’extérieur de ton village en te dépannant occasionnellement chez les commerçants locaux, si tu t'inquiètes des nuisances de la petite délinquance et de la baisse de la valeur de ton bien immobilier, si tu déplores les augmentations des impôts locaux en t'interrogeant sur la contrepartie en termes de services publics mis à ta disposition, si tu es capable de poser les questions, émettre des souhaits et proposer des idées au niveau de l'intercommunalité qui sera le lieu où se prendront désormais les plus importantes décisions locales, si tu as une activité professionnelle et une vie de famille qui te laissent un peu de temps, et tu te dis sûrement que ce serait bien que ça change... Alors là, tu peux aller dans cette démarche ».

Ce sont ces sujets sur lesquels nous aurons les uns et les autres à exprimer un choix pour élire l'équipe sensée être capable de résoudre un certain nombre de ces problèmes. Je pense que le choix, parmi les candidats qui se présenteront, se tournera vers celui ou vers celle qui aura une réelle conviction à cet égard.
On doit être attentif à la compréhension du monde contemporain tel qu'il se joue aujourd'hui et arrêter de jeter un œil dans le rétroviseur pour regarder le passé.

Saint-Valentin...

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mardi 11 février 2014

Hummmmm !

Crédits Fedora Jama - Le Bistro 443 à Saran

Théâtre à Boigny sur Bionne : La Mascarade affine sa nouvelle pièce...

Ludovic Lamy me fait parvenir quelques flyers qui annoncent les dates des prochaines représentations de la troupe La Mascarade qui enchaîne les répétitions de sa prochaine pièce de théâtre, « Le Saut du lit », une comédie vaudeville de Ray Cooney et John Chapman.

La Mascarade est une association qui a comme objectif premier la promotion du théâtre amateur par la représentation de spectacles, et aussi la sensibilisation et l'initiation de la jeunesse au théâtre.

Dates retenues : les samedis 12 et 19 avril 2014 à 20h30, le dimanche 20 Avril à 20h30, le samedi 10 Mai à 20h30, le dimanche 11 Mai à 17h00 et le samedi 17 mai à 20h30.
Lieu : Salle de la Caillaudière - 45760 Boigny sur Bionne


Crédits La Mascarade à Boigny sur Bionne

Gorilles des plaines au Congo...

Le rêve d'une de mes amies est d'aller à la rencontre des gorilles de la forêt équatoriale du Congo. Nous découvrons ensemble les photos de mon ami Simon Dinganga Tra Ndeto qui a eu le privilège d'observer ces gorilles des plaines dans le parc de Bukavu.
Une expédition faite dans le but d'encourager ceux qui conservent la nature dans les parcs car grâce à eux les gorilles des plaines sont fréquentables, me précise-t-il dans le mot qui accompagne les photos.

Simon Dinganga Tra Ndeto est expert dans la conservation de la nature in et ex situ ayant visité plusieurs sites de conservations de la République Démocratique du Congo. Simon et moi avons, par ailleurs, partagé le même dortoir quand nous avions étudié chez les Jésuites à Gombe-Matadi, au Congo. Nous avons également partagé l'amour de la nature dans cette école spécialisée, autrefois et peut-être encore aujourd'hui, dans la préparation à la carrière d'ingénieurs agronomes et de médecins vétérinaires.

Au sud-Kivu, le PNKB (le Parc National de Kahuzi-Biega) proche de Bukavu héberge les dernières familles de gorilles des plaines orientales.
« Le gorille de Grauer, est aussi appelé gorille des plaines orientales pour le distinguer du gorille de montagne qui vit dans le parc des Virunga, au Rwanda et en Ouganda. C’est le plus grand des primates. La femelle pèse environ 150 kg, le mâle dont le dos est gris clair (cela lui vaut le nom de dos argenté) 230 kg. Ses bras sont longs, plus de deux mètres, et puissants, son corps musculeux.
C'est cet animal exceptionnel qu'on ne trouve qu'au PNKB qui a valu au parc d'être inscrit au patrimoine mondial de l'humanité en 1980. C'est lui d'abord que viennent voir les touristes, encore rares à cause de l'insécurité de la région », explique Radar Nishuli, directeur et chef de site du PNKB. Lire aussi ici












Crédits PNKB / Simon Dinganga Tra Ndeto - Les gorilles des plaines au Congo

lundi 10 février 2014

Heather Hansen

Je suis fasciné par l'extraordinaire technique que Heather Hansen utilise pour exécuter ses œuvres. Couchée sur une toile de papier géante avec des morceaux de charbon de bois saisis fermement dans chaque main, Heather Hansen commence une routine physique épuisante par des gestes chorégraphiés avec soin, ses mains râpent sur le sol des longues traînées qui résultent de ses mouvements physiques permanents. C'est un mariage de la danse et de l'art qui produit ces dessins cinétiques.







Crédits Via

Un lundi comme un autre...

"Je ne m'intéresse qu'à l'avenir. Car c'est là que j'ai décidé de passer le reste de ma vie". (Albert Einstein).

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samedi 8 février 2014

Théâtre : « L’amour des 4 colonels » comédie de Peter Ustinov par la troupe La Corde Verte

Hier, je rencontre Alain Roisin qui me dit beaucoup de bien de la pièce de théâtre qu'il va jouer avec la troupe La Corde Verte. J'ai eu le plaisir de les inviter à Nibelle en 2006 et 2008 pour deux représentations qui ont fait salle comble.
Cette année, la troupe joue une comédie de Peter Ustinov intitulée « L’amour des 4 colonels » et mise en scène Catherine du Villard en région parisienne et à Paris.

Dans l’Allemagne de l’après-guerre, village de Hergozenburg, la routine de trois colonels des armées d’occupation est perturbée, en l’absence de leur confrère américain, par l’irruption de phénomènes surnaturels. Le vieux château dans lequel ils voudraient bien installer leur quartier général est hanté et occupé par une belle avec laquelle ils vont pouvoir, chacun à leur tour, vivre l’histoire d’amour idéale. Succomberont-ils à la tentation du rêve ou pourront-ils s’accrocher à la réalité de leur vie ?

Crédits Affiche du théâtre de la troupe La Corde Verte

Les dates à retenir sont : les 14 et 15 février à 20h30 et le 16 février à 16h00, à Vaucresson et les 14 et 15 mars à 20h00 Salle Saint Léon à Paris 75015
Les représentations sont données au profit des associations pour l'enfance.
Tarif : 15 € - Réduit : 10 € (étudiant et – de 18 ans)
Réservations : Compagnie Corde Verte au 06 72 71 89 47 ou lacordeverte@sfr.fr

Bon week-end...

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vendredi 7 février 2014

Johann Pachelbel - Canon en ré majeur



Le Canon en ré majeur sur une basse obstinée de Johann Pachelbel, dit « Canon de Pachelbel », fait partie d'une pièce de musique de chambre baroque, écrite en 1677 pour trois violons et une basse continue.
Œuvre au caractère solennel et majestueux, à quatre temps lents et imposants, d'une durée d'un peu moins de quatre minutes, le canon était à l'origine suivi d'une courte gigue (danse ancienne), rarement jouée.

Jacques Poisson...

Ce matin, en l'église de Nibelle, nous assistons aux obsèques de notre ami Jacques Poisson. Il a beaucoup œuvré pour le prestige de Nibelle et nombreuses sont les réalisations à mettre à son actif : la création du comité des fêtes en 1960, le théâtre d'amateurs en 1961, le son et lumière au château du Hallier de 1973 à 1987, le fleurissement de Nibelle et son classement dans les villages fleuris de France, la plantation des arbres dans la rue Saint Sauveur et la rue de la gare, le musée Saint Sauveur, l'aménagement du square Cottinat et ses jeux d'enfants, la conception de la salle des fêtes qui porte son nom depuis 2003...

J'ai, à plusieurs reprises, raconté sa vie bien remplie sur mon blog ici et aussi .

Je l’avais associé à plusieurs de mes projets, à l'office de tourisme de Nibelle, à la préparation de la célébration des 50 ans de l'association, à la transformation de l’accueil du musée Saint-Sauveur et de son annexe, en 2008. Après sa période d’incandescence des années 60 à 90, il avait éprouvé, sans doute parce que le paysage culturel, les habitudes et les loisirs avaient changé, une petite difficulté à se réinventer de nouvelles aventures, illustrant ainsi la difficulté plus générale que nous avons tous à devoir sans cesse rebondir.

Cette difficulté ne l’avait pas conduit à estimer que tout avait été dit et que tout avait été fait, à vivre dans la nostalgie et à renoncer à faire fonctionner son imagination. Aimant profondément son village, et comme un moteur qui n'arrête pas de tourner, il est resté au sein du conseil d'administration de l'office de tourisme jusqu'en 2012, quand j'ai quitté la présidence de l'association. Il était celui sur qui il fallait s'appuyer pour prendre conseil, et jamais une occasion de bien faire n'a été manquée par pusillanimité.

Nous avions comme habitude, chaque début d'année, d'aller voir Jacques et Michèle Poisson pour leur souhaiter la bonne année. Je me souviens de nos interminables conversations et fous rires qui duraient jusqu'à pas d'heure, après avoir bu un bon vin et dégusté un plat de tripous avec des pommes de terre chaudes.

Merci pour ces moments de bonheur que tu aimais tant partager, et ta capacité tout aussi intarissable de t'entourer des autres pour découvrir et partager tes enthousiasmes. Merci pour ton humour, ta générosité, ton affection, ton respect pour l'autre et ton sens de l'hospitalité. Jacques était bien fait pour la vie. On a du mal à l'imaginer mort. Hélas !
J'ai pris soin de mentionner sur le registre des condoléances ces mots : « Tu vas nous manquer... »
Oui, il va nous manquer. Ciao Jacques.










Crédits © Baudouin N'Gunda - Archives photographies de Jacques Poisson

jeudi 6 février 2014

Lecture...

« Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie. » ( Montesquieu )

Crédits Via

mercredi 5 février 2014

Sony World Photography Awards 2014...

World Photography Organization (Organisation mondiale de la Photographie) vient de publier la liste des Sony World Photography Awards 2014. Le concours de cette année a reçu plus de 140 000 photographies des 166 pays participants. Les juges annonceront les gagnants finaux en mars et avril de cette année, mais pour l'instant voici une petite sélection des meilleures photos choisies. (Via)

Crédits © Hasan Baglar, 2014 Sony World Photography Awards - That’s dance

Crédits © Chin Boon Leng, 2014 Sony World Photography Awards - A baby Orangutan peeking out from his mother’s embrace.

Crédits © Nicolas Reusens, 2014 Sony World Photography Awards - The knight and his steed, a tropical capture in Costa Rica.

Robert Adams - L’endroit où nous vivons : Exposition au Jeu de Paume

Robert Adams - L’endroit où nous vivons : Exposition au Jeu de Paume du 11 février au 18 mai 2014...
Né à Orange (New Jersey) en 1937, Robert Adams grandit dans le Wisconsin, puis dans le Colorado où il réside plus de trois décennies avant de s’installer en Oregon. Depuis ses débuts en photographie, au milieu des années 1960, Adams est considéré par beaucoup comme l’un des chroniqueurs les plus importants et les plus influents de l’Ouest américain.
L’exposition reflète l’intérêt ancien d’Adams pour la relation tragique entre l’homme et la nature ainsi que sa quête d’une lumière et d’une beauté rédemptrices au sein de paysages dégradés. Ses images se distinguent par leur économie et leur lucidité, mais aussi par un mélange de déploration et d’espoir.

Avec plus de deux cent cinquante tirages choisis parmi vingt et une séries distinctes, cette rétrospective réunit pour la première fois les diverses facettes d’un corpus considérable. Composée et articulée en concertation avec le photographe lui-même, cette exposition offre un récit intime et cohérent de l’évolution de l’Ouest des États-Unis à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle, mais aussi un regard stimulant sur la complexité et les contradictions de notre société contemporaine mondialisée.

Crédits © Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York - Robert Adams, Colorado Springs, Colorado, 1968 Épreuve gélatino-argentique

Dans son travail, Robert Adams montre la façon dont les paysages grandioses de l’Ouest américain, déjà arpentés au XIXe siècle par des photographes comme Timothy O’Sullivan ou William Henry Jackson, ont été transformés par l’activité humaine. Adams a tenté d’offrir une apparente neutralité d’approche. Même les titres de ses images les apparentent au registre documentaire. Il est surtout connu pour ses photographies austères et nuancées de l’aménagement suburbain dans le Colorado de la fin des années 1960 et du début des années 1970, images remarquées pour la première fois grâce à un livre fondateur, The New West (1974). En 1975, Adams figurait dans une exposition qui fit date, New Topographics. Lire ici
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