mardi 30 avril 2013

Le temps de souffler un peu...

Le bonheur existe. Il est dans l'amour, la santé, la paix, le confort matériel, les arts, la nature et encore à des milliers d'endroits. (Michèle Morgan - Extrait de Pourquoi pas le bonheur ?)

En Mayenne pendant quatre jours, le temps de faire une petite cure d'oxygène et retrouver des amis. J'ai retrouvé ce joli lavoir où j'aime aller me ressourcer...








Crédits Baudouin N'G - Escapade en Mayenne, Avril 2013

Claudia Comte - Summer Villa Extension : Exposition au Centre culturel Suisse de Paris

Claudia Comte - Summer Villa Extension : Exposition au Centre culturel Suisse de Paris du 3 mai jusqu'au 2 juin 2013...
Claudia Comte (née à Lausanne en 1983, vit à Berlin) travaille à partir d’inspirations éclectiques et s’approprie librement différents champs de la création : le design, le théâtre, l’architecture d‘intérieur, la mode, les arts plastiques. Ces projets interrogent tous à leur manière les enjeux actuels de la sculpture et de la peinture, cinquante ans après la phrase célèbre de Frank Stella « ce que vous voyez est ce que vous voyez ». Chez Claudia Comte, les métaphores et les références sont toujours entremêlées avec sérieux et rigueur, mais le clin d’œil, voire l’éclat de rire, ne sont jamais très loin. (Samuel Leuenberger)

Summer Villa Extension est une suite de l’installation présentée en 2012 à l’Aargauer Kunsthaus d’Aarau, que Claudia Comte réinterprète et développe spécialement pour le CCS (Centre culturel Suisse).
L’exposition présente plusieurs éléments importants de sa production actuelle : les panneaux de bois brûlés, les sculptures à la tronçonneuse et les peintures murales géométriques, auxquels s’ajoutent pour la première fois des sculptures colorées en matériaux synthétiques. Lire ici


Crédits © Nicolas Delaroche - Claudia Comte, Summer Villa, 2012
Crédits © Primula Bosshard - Claudia Comte, X,Y,Z, 2013 Centre d’art Fri Art,Fribourg
Crédits © Gunnar Meier - Claudia Comte, Many Kinds of Suspense Pictures, 2012 Kunsthaus Glarus

jeudi 25 avril 2013

Un tour à vélo...

Cet après-midi, en faisant un tour à vélo, j'ai pris ces quelques photos qui montrent que la nature reverdit et que les plantes et les fleurs sont en plein épanouissement...





Crédits Baudouin N'G - Un tour à vélo, Avril 2013

Art déco - Reconstitution d'un salon d'époque : Exposition à Chécy

Aurélie Hume me fait parvenir une invitation pour le vernissage de l'exposition Art Déco au Musée de la Tonnellerie à Chécy. Organisée en partenariat avec l'association « L'Art et la Manière » et la Maison des Métiers d'Art de Ferrières-en-Gâtinais, le Musée de la Tonnellerie démarre sa nouvelle saison avec l'exposition « Art déco - reconstitution d'un salon d'époque » qui se tient du 4 mai jusqu'au 30 juin 2013.

Lignes pures, formes géométriques, couleurs fortes, matières luxueuses... Ce printemps, le Musée est élégant et sophistiqué, comme dans les Années folles.

De la cheminée de style au mobilier caractéristique de l’époque, en passant par un décor fidèle et des accessoires du quotidien, cette exposition est le fruit de la création d’artistes et d’artisans, membres de l’association « L’Art et la Manière ». Retrouvez le charme d’une époque, riche en créativité et en audace.


Afrique Éternelle : La débrouille...

Avec la crise qui sévit en France et dans le monde, seuls la débrouille, l’entraide, le système D permettent de faire face. En Afrique, depuis longtemps, les gens se débrouillent comme ils peuvent avec peu de moyens, comme on peut le voir dans les images que Jeannette m'a fait parvenir...





Crédits DR / Afrique Éternelle via Jeannette G.

Journée Internationale du Jazz

Le 30 avril 2013 Le Baiser Salé, Le Duc des Lombards, Le Sunside et Le Sunset vibreront au son du jazz encore plus que d’habitude . Ce sont les quatre établissements Parisiens qui seront au cœur de la Journée Internationale du Jazz cette année.

Organisée par l’Unesco et parrainée par le Thelonious Monk Institute of Jazz, la Journée Internationale du Jazz arrive à Paris avec 28 concerts et 48 événements autour des clubs de jazz à Châtelet. Lire aussi ici


Crédits Affiche de la Journée Internationale du Jazz

Jean François Maurige - Pourquoi le rouge : Exposition à la Galerie Jean Fournier

Jean François Maurige - Pourquoi le rouge : Exposition à la Galerie Jean Fournier du 25 avril jusqu'au 15 juin 2013...
Pourquoi le rouge comprend trois ensembles d’œuvres de Jean François Maurige : des tableaux, des peintures sur papiers et des céramiques. Cette exposition permettra de confronter et d’associer ces différents médiums.

La pratique artistique de Jean François Maurige s’ancre sur la détermination à se confronter à la question du tableau par la mise en place de contraintes volontairement choisies dans un rapport d’économie à la peinture. Le tableau est le lieu de l’auto-engendrement de ce qu’il va donner à voir : la construction d’un espace de liberté, d’un espace de référence qui est à se fabriquer et à s’approprier. Cette appropriation se matérialise par la mise en place progressive d’un protocole.

Ainsi, depuis les années quatre-vingt, Maurige réalise ses tableaux selon des règles bien établies et évolutives. L’artiste utilise une toile de confection rouge au lieu de la toile de lin traditionnelle. Il la prépare avec une peinture acrylique blanche très liquide qu’il passe à la brosse verticalement sur la toile agrafée au mur. Cette toile ainsi préparée est étalée au sol, l’artiste inscrit ensuite par frottage une large bande verticale de couleur noire. La toile est ensuite montée sur châssis. Le peintre peut alors passer la couleur rouge, à la tonalité variable allant du rouge orangé au violet, d’où s’extraient des formes qu’il manipule, formes qu’il désigne comme des « figures ». L’utilisation omniprésente de la couleur-matière rouge est un des constituants essentiels du travail de l’artiste, jusqu’à la notion de non couleur. Dans ses tableaux, Maurige use de cette couleur qu’il affectionne pour son efficacité tant graphique que chromatique.

L’exposition présente un premier ensemble de tableaux où les formes rouges semblent en mouvement comme s’échappant vers l’extérieur, en continuité avec les toiles précédentes. Le marquage noir qui était encore visible dans les œuvres précédentes disparaît aujourd’hui complètement du protocole. L’idée de hors champ est encore plus présente dans la série des peintures sur papier canson. Des lignes obliques noires viennent croiser une ligne de couleur, rouge ou bleue, qui décentre l’ensemble du dessin. Le recto et le verso du papier sont recouverts de peinture, comme si l’artiste souhaitait réunir ces deux aplats de couleur séparés par l’épaisseur de la feuille de papier.

« Si ce tissage de bandes produit un effet très construit qui peut sembler à l’opposé de ce que l’on observe dans les œuvres sur toile, il obéit à un principe comparable d’ajustement du plan pictural à la réalité spatiale. » (Patrick Javault in Jean François Maurige tableaux 1982-1984 tableaux 2007-2010, 2011, p.132.)

Crédits Courtesy of the artist & Galerie Jean Fournier, Paris — Laurent Ardhuin : Jean François Maurige, Sans titre, 2012 Acrylique sur toile rouge

Enfin, un dernier ensemble d’œuvres est constitué par une série de céramiques réalisées dans le Maine à Betschdorf et à Quimper. Il s’agit d’une confrontation avec des techniques traditionnelles comme l’utilisation du bleu dans la céramique alsacienne. Là encore, l’emploi de motifs répétitifs, remplissant par ailleurs déjà ses carnets de croquis, est une autre manière pour Maurige d’exprimer l’espace infini de la toile rouge qu’il utilise pour ses tableaux.

Pour Jean François Maurige, le tableau est la plus grande pertinence possible face à la question du visible et est activé aussi bien à travers la pratique des peintures sur toile que celles des peintures sur papier ou des céramiques. Chacune de ces pratiques représente un maillon d’une chaine venant à investir le champ du tableau et permettant des ruptures, des relances, des reprises et ainsi de convoquer des formels différents. Lire aussi ici

Michel Polnareff - Love Me Please Love Me

mardi 23 avril 2013

Festival Land Art à Buthiers

Je reçois l'invitation pour la troisième édition du Festival Land Art qui se déroulera à Buthiers les 17, 18 et 19 mai 2013. L’association les Ateliers du Soleil organise ce Festival Land Art avec 3 objectifs principaux suivants : rendre l’art accessible à tous, valoriser le patrimoine naturel de la forêt de Buthiers, favoriser le respect de l’environnement, créer un évènement culturel, festif et inter-générationnel.
Le Festival propose une rencontre avec les artistes et leurs œuvres, des ateliers et visites ludiques pour les enfants, des animations musicales et théâtrales.

Le Land Art est une tendance de l'art contemporain, utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont à l'extérieur, exposées aux éléments, et soumises à l'érosion naturelle ; ainsi, certaines œuvres ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos.


Crédits Affiche du festivan Land Art de Buthiers

lundi 22 avril 2013

Moerkey - Sculptures métal

Avec des morceaux de tuyau en cuivre, clés et pièces de monnaie qui sont ses matières premières, Moerkey fabrique dans son garage ces œuvres d'art...





Crédits Etsi via Paradis express

Discussion...

Ce soir, je prends un apéritif avec mon ami Jean-Louis. Nous parlons de la vie publique et des dernières nouvelles qui font le bonheur des médias. Nous sommes d'accord que la publication des patrimoines des membres du gouvernement n’a en elle-même aucun intérêt pour la moralisation de la vie publique.
La seule mesure pertinente serait la comparaison entre le montant de la fortune globale d’un responsable public au moment où il entre en charge et le moment où il en sort pour juger s'il a profité de ses fonctions pour s’enrichir. Pour l'instant, cela ressemble à du voyeurisme.

Nous observons, avec tristesse, que la vie publique, empoisonnée par quelques affaires, s’est singulièrement dramatisée et que la confiance des citoyens fait trop défaut à ceux qui ont la charge d’agir au nom du peuple. Aussi, les débats et les réformes ne peuvent plus être abordés sans que l’opinion se fracture et que des factions s’affrontent avec une violence parfois inquiétante. Nous avons l'impression que ce pays s'épuise. Ça fait peur !

Gobelins par Nature - Éloge de la Verdure (XVIè-XXIè siècle) : Exposition à la Galerie des Gobelins

Gobelins par Nature - Éloge de la Verdure (XVIè-XXIè siècle) : Exposition à la Galerie des Gobelins jusqu'au 19 janvier 2014...
Le thème de la flore est particulièrement en faveur dans la production des tapisseries dès le Moyen-Âge. Au fil du temps, en fonction des modifications du goût, de l’évolution des conditions de vie et des préoccupations artistiques, la représentation du monde végétal va s’exprimer sous différentes formes : « milles-fleurs », verdures, cycle des mois et des saisons, paysages...

Le parcours ne se veut pas chronologique. Il s’agit d’une invitation à la promenade dans un cadre de verdure où le passé et le présent se croisent et se répondent par le jeu des variations iconographiques et chromatiques.

Les Saisons de Le Brun conversent avec les Saisons de Lurçat ; les « mille-fleurs » du XVe siècle se mêlent au fleurs sauvages de Dom Robert. Les frondaisons des verdures et des paysages des XVIe et XVIIe siècles rejoignent celles de Monet, Buri, Hadju, Alechinsky, Prassinos et Traquandi. Lire aussi ici


Crédits David Hugonot Petit / Galerie des Gobelins - Velvet Jungle n°1 d’après Jacques Monory / Tapisserie des Gobelins, 2012

Printemps de Bourges 2013

Le Printemps de Bourges aura lieu du 23 au 28 avril 2013. Comme chaque année depuis 1977, le Printemps de Bourges lance la saison des festivals musicaux de France. « Le Printemps de Bourges doit devenir, pour tous ceux qui s'intéressent à la chanson, un lieu de création, d'expression et de confrontation sur la chanson d'aujourd'hui. Ce festival doit miser toujours sur un « bon équilibre entre des musiciens connus et des moins connus, une diversité des genres et des nouveautés dans le fonctionnement », selon l'un des trois fondateurs et actuel directeur du Printemps de Bourges, Daniel Colling. Lire aussi ici

Crédits Printemps de Bourges 2013

vendredi 19 avril 2013

Keith Haring - The political line : Exposition au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris

Keith Haring - The political line : Exposition au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris (MaM) du 19 avril 2013 jusqu'au 19 août 2013...
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, avec le CENTQUATRE, consacre une rétrospective de grande envergure à l’artiste américain Keith Haring (1958 – 1990). Cette exposition permettra d’appréhender l’importance de son œuvre et plus particulièrement la nature profondément « politique » de sa démarche, tout au long de sa carrière.

Avec près de 250 œuvres réalisées sur toile, sur bâche ou dans le métro, - dont une quinzaine de grands formats seront exposés au CENTQUATRE, cette exposition est l’une des plus importantes jamais réalisées sur cet artiste.
Keith Haring fut l’un des artistes les plus célébrés de son époque, et aujourd’hui encore tout le monde connaît son style incomparable et son répertoire de signes emblématiques. Il a été exposé avec Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, Jenny Holzer et Daniel Buren, dès la Documenta 7 en 1982 et dans des musées et biennales du monde entier.

Crédits © Keith Haring Foundation - Collection particulière, Untitled, 9 avril 1985

Keith Haring, virtuose du dessin, a étudié à la School of Visual Arts à New York. Génie de la ligne, travailleur incessant et rapide, il a énormément produit, réalisant ses œuvres en écoutant de la musique. Il a utilisé de multiples supports et eu recours aux medias de son époque allant jusqu’à commercialiser des produits dérivés dans son célèbre Pop Shop à partir de 1985.

Les messages et les idées politiques qu’il a véhiculés ne constituent pas seulement une part de son héritage, mais ont considérablement influencé les artistes et la société. Ses « subway drawings » réalisés dans le métro, ses peintures, ses dessins et sculptures, étaient porteurs de messages de justice sociale, de liberté individuelle et de changement. Icône du Pop art, artiste subversif et militant, Keith Haring a multiplié les engagements tout au long de sa vie : très jeune, il était animé par une envie de transformer le monde.

Crédits © Keith Haring Foundation - Courtesy Fondazione Ors, The Tree of Monkeys, 1984

En utilisant délibérément la rue et les espaces publics pour s’adresser au plus grand nombre, il n’a cessé de lutter contre le racisme, toutes sortes d’injustice et de violence, notamment l’Apartheid en Afrique du sud, la menace nucléaire, la destruction de l’environnement, l’homophobie et l’épidémie du sida (dont il est mort non sans avoir créé une fondation caritative au profit de la lutte contre la maladie). Le parcours de l’exposition rend compte de ses prises de position critiques.

Cette exposition majeure se devait d’être organisée à Paris. En effet, présenté dès 1984 par l’Arc, au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris dans l’exposition Figuration Libre France/USA, aux côtés de Robert Combas, Hervé Di Rosa, Jean-Michel Basquiat… Keith Haring a séjourné, travaillé et exposé à de nombreuses reprises à Paris, ville qu’il affectionnait particulièrement. Source

jeudi 18 avril 2013

Emmy Rossum - Sentimental Journey

Ron Mueck : Exposition à la Fondation Cartier

Ron Mueck : Exposition à la Fondation Cartier jusqu'au 29 septembre 2013...
La Fondation Cartier pour l’art contemporain invite le sculpteur australien Ron Mueck à présenter ses œuvres émouvantes et troublantes, marquant son grand retour institutionnel en Europe.

Après le succès de 2005 à la Fondation Cartier, cette nouvelle exposition personnelle est la plus complète et la plus actuelle de la production de l’artiste. Elle dévoilera notamment, outre six œuvres récentes, trois sculptures réalisées spécialement pour l’exposition. Ces œuvres, révélées dans l’intimité de leur création à travers un film inédit, réaffirment toute la modernité d’un art à fleur de peau, aussi puissant qu’évocateur.

Crédits © Thomas Salva / Lumento - Ron Mueck / Courtesy Hauser & Wirth, Woman with Sticks, 2009

La découverte exceptionnelle d’une œuvre rare et secrète. Vivant à Londres, Ron Mueck a exposé dans les musées du monde entier, au Japon, en Australie, en Nouvelle Zélande et au Mexique. Son exposition à la Fondation Cartier est un événement d’autant plus exceptionnel que les opportunités de voir ses œuvres sont extrêmement rares. Travaillant lentement dans son atelier londonien, il fait du temps un élément privilégié de sa création.

Ses figures humaines, réalistes à l’excès, mais qui jouent sur des changements d’échelle surprenants, demeurent aussi éloignées du naturalisme académique que du pop art ou de l’hyperréalisme. Lire la suite ici

Trésor du Saint-Sépulcre : Exposition au château de Versailles

Trésor du Saint-Sépulcre : Exposition au château de Versailles jusqu'au 14 juillet 2013...
Le château de Versailles présente les chefs-d’œuvre d’un des derniers trésors de l’Occident dans l'exposition Trésor du Saint-Sépulcre. Présents des cours royales européennes à Jérusalem.
250 chefs-d'œuvre inconnus : L’exposition Trésor du Saint-Sépulcre. Présents des cours royales européennes à Jérusalem présente pour la première fois plus de 250 chefs-d’œuvre inconnus issus du Trésor du Saint-Sépulcre.

Ces extraordinaires œuvres d’art ont été envoyées à la basilique du Saint-Sépulcre de Jérusalem ainsi qu’à celles de Bethléem et de Nazareth par les principaux souverains européens. Ils rendaient ainsi hommage aux Lieux saints et participaient à leur splendeur. Certaines de ses œuvres, qui aujourd'hui encore sont utilisées lors de cérémonies religieuses, sont montrées pour la première fois au public lors d'une exposition.

Crédits © Custodie de Terre Sainte, A. Bussolin - Claude Caignet, Grand bassin en argent repoussé, ciselé et doré. Diamètre 39 cm offert par Louis XIII, 1625 - Jérusalem, Custodie de Terre Sainte

Un faste sans égal : Dans les salles des Croisades du château de Versailles, le visiteur découvre ces cadeaux extraordinaires et leur incroyable diversité : lampes de sanctuaire d’or ou d’argent, candélabres de vermeil, vases liturgiques sertis d’émaux et de pierres précieuses, crosses et croix de procession, vêtements de cérémonie en brocart et velours ciselés...
A la Maison de Chateaubriand, ce sont des œuvres peintes qui sont présentées. Lire la suite ici


Crédits © Custodie de Terre Sainte, M.-A. Beaulieu - Ombilic Porphyre, argent doré. Diamètre total : 51,5 cm, Jérusalem, Custodie de Terre Sainte

mercredi 17 avril 2013

Hong Yi

L'artiste architecte malaisien Hong Yi, connu aussi sous le surnom Red, réalise ici des illustrations amusantes avec de la nourriture. L'image est entièrement composée de nourriture avec une plaque blanche comme toile de fond.



Crédits Red Hong Yi via Colossal

André Morain - Photographies 1961-2012 : Exposition à la Maison Européenne de la Photographie

André Morain - Photographies 1961-2012 : Exposition à la Maison Européenne de la Photographie du 17 avril 2013 au 16 juin 2013...
Couvrant plus de quarante ans de vie artistique parisienne, l’oeuvre d’André Morain s’offre comme une chronique photographique et historique irremplaçable. Devant son objectif ont défilé tout ce que l’Art compte de personnalités : galeristes, critiques, collectionneurs, conservateurs, politiques, artistes…

Saga singulière dans laquelle les Nouveaux Réalistes côtoient les peintres de la Figuration Narrative, et où l’on retrouve Jacques Chirac aux côtés de Louis Cane, tandis qu’à l’abri des regards, Denise René converse avec Jean Arp et qu’Annette Messager et Christian Boltanski s’échappent d’une monumentale sculpture de Richard Serra. Typologie qu’on pourrait interpréter aussi comme une étude de caractères.

Crédits André Morain - Philippe Starck, Andrée Putman et Jean Nouvel, 1990

Mais qu’on ne s’y trompe point, si André Morain est au service de l’art, il est aussi et surtout au service de la photographie. Son œil aux aguets, furtif et incisif, saisit à la volée, à la manière d’un Cartier-Bresson, les moments forts d’une scène artistique qu’il immortalise et nous restitue dans sa fraîcheur et sa spontanéité.

Il s’inscrit assurément dans la lignée d’un Ugo Mulas, d’un Harry Shunk ou d’un Claudio Abate, mais il s’en distingue cependant par quelques pas de côté : ceux d’un photo-reporter rarement pris au dépourvu. André Morain, c’est la mémoire virevoltante d’une époque à laquelle l’humour et parfois l’impertinence donnent le « la ». Lire ici


Crédits André Morain / Courtesy of the artist & MEP, Maison européenne de la photographie - Exposition Comme lieu : situation 2 , musée des Arts décoratifs, 1987

Antonio Vivaldi - Le printemps

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