mercredi 28 mai 2014

Concert Chœurs Éternels : Le compte à rebours commence...

Samedi dernier, réunion de l'équipe qui entoure Laurent Coignard pour l'organisation du concert qui aura lieu le 22 juin prochain à Boiscommun. Nous sommes fin prêts pour ce grand évènement devenu incontournable dans la région Centre.
Pour mieux se rendre compte du caractère exceptionnel de cette manifestation culturelle, je confie à mon blog le communiqué de presse ci-après.

Communiqué de presse :
Concert Chœurs Éternels du dimanche 22 juin 2014 à 15 Heures 30 en l'église Notre-Dame de Boiscommun ( Loiret 45340)

Un concert encore plus exceptionnel que d'habitude
Le 22 juin prochain, à 15 heures 30, aura lieu pour la quatrième fois le concert « Chœurs Éternels » organisé par Laurent Coignard en l'église Notre-Dame de Boiscommun. Comme les trois précédents concerts, celui-ci sera dirigé par Patrick Marie Aubert, et regroupera un exceptionnel ensemble de choristes et musiciens professionnels. Le programme rassemblera des œuvres de Pergolèse, Mozart, Offenbach, Bizet, Haendel et Verdi en une vivante anthologie de la musique depuis le XVIIIe siècle.

L'évènement
Ce qui marquera ce quatrième concert est la venue pour la seconde fois de la soprano canadienne Aline Kutan qui viendra spécialement de Montréal pour chanter seule ou avec l'accompagnement des chœurs certains des plus grands moments du répertoire lyrique, de l'air de la Reine de la Nuit de La Flûte enchantée de Mozart aux passages les plus éblouissants de La Traviata.
Pour assurer l'étendue de ce choix, le renforcement en nombre tant des Chœurs (qui réuniront 20 choristes) que des instrumentistes s'est révélé nécessaire. Ce sont 16 violons, 2 contrebasses, 3 violoncelles, 2 trompettes, 2 cors, 2 bassons, 2 hautbois, 2 flûtes, une clarinette et une harpe qui accompagneront la soprano Aline Kutan et la mezzo-soprano Delphine Haidan sous la direction de Patrick Marie Aubert.
La venue d'Aline Kutan a été rendue possible grâce au mécénat exceptionnel de Arts & Création, et de la délégation générale du Québec à Paris, car comme tous les concerts précédents de « Chœurs Éternels », l'entrée au concert du 22 juin restera gratuite pour offrir au plus large public le plaisir de la grande musique et des meilleurs interprètes.
L'évènement est placé sous la présidence du Délégué général du Québec à Paris, Son Excellence Michel Robitaille, Réprésentant personnel du Premier Ministre pour la Francophonie, qui présidera en personne cette manifestation.

Le lieu
L'église Notre-Dame de Boiscommun, chef d'oeuvre de l'architecture du XIIIe siècle dans le Loiret (à 100 kms de Paris), a été retenue car, outre sa qualité architecturale, elle possède une remarquable acoustique et permet d'accueillir un large ensemble d'auditeurs. Les trois concerts précédents ont déjà rassemblé un public enthousiaste laissant de nombreuses personnes debout pendant toute la durée du concert. Le public local partageait, comme le notait La République du Centre, avec les personnalités venues de Paris - de l'ancien ministre de la Culture Jacques Toubon à Pierre Daix, écrivain et spécialiste de Picasso dont il était l'ami, à Jean-Michel Meurice, l'un des fondateurs d'Arte ou à Anne de Staël la fille du célèbre peintre... - le plaisir de ces deux heures de musique.

L'organisateur
Laurent Coignard avait déjà organisé à l'église Notre-Dame de Bon-Port de Quillebeuf en Normandie quatre concerts rassemblant des Choristes des Chœurs de Radio France avant son installation dans le Loiret. Comme pour ses trois précédents concerts en Région Centre, il a fait appel à des interprètes - instrumentistes et choristes - qui sont un gage de professionnalisme au plus haut degré de qualité. Le programme établi conjointement avec le Chef Patrick Marie Aubert conjugue, comme les précédents concerts, airs célèbres et morceaux plus rares mais surtout choisis pour mettre en valeur le timbre exceptionnel de la soprano canadienne Aline Kutan et de la mezzo-soprano française Delphine Haidan.

Le Chef
Né à Aix-en-Provence, Patrick Marie Aubert effectue ses études musicales au Conservatoire où il débute sous la baguette de Darius Milhaud. Premier prix de direction d'orchestre, il reçoit les conseils de Karl Richter et Seiji Ozawa.
Avant dêtre nommé le 1er août 2009 chef de Chœur de l'Opéra national de Paris, Patrick Marie Aubert a d'abord commandé de 1996 à 2000 le chœur de l'armée française, puis est devenu chef de Chœur de l'Opéra de Nantes avant d'être nommé en 2003 chef de Chœur du Capitole de Toulouse. Il est, par ailleurs, régulièrement invité à apporter son concours aux Chorégies d'Orange.

Aline Kutan
Née en Turquie, Aline Kutan est arrivée au Canada à l'âge de 10 ans. Elle a étudié le chant à l'université de la Colombie-Britannique et à l'université Laval à Québec et fait ses débuts à 18 ans dans l'opéra de Benjamin Britten The Turn of the Screw à l'opéra de Vancouver. Aline Kutan possède une réputation internationale des plus enviables. Elle s'est produite sur les plus grandes scènes du monde, dont la Scala de Milan, le Metropolitan Opera de New York, le Grand Théâtre de Genève, ainsi qu'au Teatro di san Carlo de Naples, au Capitole de Toulouse et à l'Opéra Bastille.

Delphine Haidan
Delphine Haidan remporte un prix d’Opéra au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et plusieurs prix dans des concours internationaux. Elle entre ensuite à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris et est immédiatement engagée à l’Opéra Bastille. Nominée aux « Victoires de la Musique », Delphine Haidan s’est affirmée dans le répertoire français avec le rôle-titre de l’Enfant et les Sortilèges au Théâtre des Champs-Élysées. Elle chante dans les opéras les plus prestigieux : à Paris, au Capitole de Toulouse, au Royal Albert Hall de Londres, à Vienne, à Tel-Aviv, à Moscou, à Tokyo … Parmi ses récentes prestations, citons La Marguerite de La Damnation de Faust à Moscou, Pelléas et Mélisande à Toyko et, tout dernièrement, Les Contes d’Hoffmann à Zurich.

Une donnée rare
Ce concert professionnel est entièrement gratuit et ouvert à tous les publics.

Pour tous contacts et informations supplémentaires :
Laurent Coignard
Le Verger des fontaines
45340 Chambon la Forêt
Tél : 06 11 03 65 55
e-mail : laurentcoignard@hotmail.fr


Crédits Jean Alliot - Chœurs Éternels, Boiscommun Juin 2013

Au Verger des fontaines...

Au Verger des fontaines à Chambon la Forêt, chez mon ami Laurent, difficile de résister à la beauté des parterres de pivoines. Un bouquet pour l'un, un bouquet pour l'autre, c'est ainsi qu'il a voulu partager avec nous, sa passion des fleurs et des beaux bouquets...


Crédits Baudouin N'G - Les pivoines au Verger des fontaines...

vendredi 23 mai 2014

La Chine à Versailles - Art et diplomatie au XVIIIe siècle : Exposition au château de Versailles

La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle : Exposition au château de Versailles du 27 mai au 26 octobre 2014...
L'exposition La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle retrace l'histoire des échanges politiques et artistiques entre la Chine et la France au XVIIIe siècle. Les peintures, meubles, laques, porcelaines et tapisseries exposés témoignent du plus grand luxe de leur époque et sont d'une extrême rareté aujourd'hui.

Les quelques 150 œuvres rassemblées pour l'exposition illustrent le goût français pour les productions artistiques chinoises et révèlent également l'intérêt des Européens pour les descriptions de la Chine tout au long du XVIIIe siècle.

Crédits Affiche de l'exposition " La Chine à Versailles - Art et diplomatie au XVIIIe siècle "

L'art chinois à Versailles : Porcelaines, papiers peints, laques, étoffes, soieries : les productions artistiques chinoises suscitent un vif intérêt en France dès le XVIIIe siècle. Sous le règne de Louis XIV, le goût français pour "lachine" ou "lachinage" est attribué aux cadeaux apportés de l'Extrême-Orient par les ambassadeurs du roi de Siam en 1686.

L'attirance pour l'art chinois se manifeste également à travers ce qu'on appelle plus tard "la chinoiserie", un courant du goût qui prend différentes formes : - l'imitation de l'art chinois, - l'influence de l'art chinois sur l'art français, - l'adaptation de matériaux orientaux au goût français, - mais aussi la création d’une Chine imaginaire et pacifique.

Si les souverains français, protecteurs des arts, ne peuvent montrer ouvertement leur goût pour la Chine dans les appartements d'apparat, de nombreuses œuvres d'art chinois décorent leurs appartements privés de Versailles et de Trianon. Lire aussi ici


Crédits © EPV - Fontaine à parfum Chine, Jingdezhen, début de l'époque Qianlong (1736-1795), Porcelaine à glaçure céladon craquelé et céramique brune ; monture en bronze doré. Paris, vers 1743 Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.

Fredrika Stahl - Twinkle Twinkle little star

jeudi 22 mai 2014

Sérénité

Mes sommets étaient à ma taille
J'ai roulé dans tous mes ravins
Et je suis bien certain que ma vie est banale
Mes amours ont poussé dans un jardin commun
Mes vérités et mes erreurs
J'ai pu les peser comme on pèse
Le blé qui double le soleil
Ou bien celui qui manque aux granges
J'ai donné à ma soif l'ombre d'un gouffre lourd
J'ai donné à ma joie de comprendre la forme
D'une jarre parfaite.

- Paul Eluard -

Jean-René Gauguin (1881-1961) - Sculpteur et céramiste : Exposition à la Maison du Danemark

Jean-René Gauguin (1881-1961) - Sculpteur et céramiste : Exposition à la Maison du Danemark du 27 mai au 14 juillet 2014...
Né à Paris en 1881, quatrième enfant de Paul Gauguin et de son épouse danoise Mette Sophie Gad, l’artiste franco-danois Jean René Gauguin eut une carrière prolifique de sculpteur et de céramiste jusqu’à sa mort en 1961. Elevé à Copenhague, où sa famille s’installe en 1884, Jean-René Gauguin y resta toute sa vie malgré de nombreux voyages en Europe. Son père, Paul Gauguin, retourne à Paris pour peindre et ne reverra ses enfants que brièvement en 1892 avant de partir pour Tahiti.

Jean-René Gauguin veut d’abord être marin, puis charpentier. Il commence la sculpture vers 1910 avec des bois en taille directe puis, vers 1914, de petites statuettes en bronze de danseurs et de centaures inspirées de grotesques de la Renaissance. En 1921, il commence à produire des céramiques en Autriche.

Il est engagé en 1923 par la grande firme Bing & Grøndahl de Copenhague, où il produit l’essentiel de son œuvre et y invente une nouvelle matière appelée roche céramique. Jean-René Gauguin exposera de nombreuses céramiques à l’exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925 à Paris et sera invité à travailler pour la Manufacture de Sèvres quelques mois en 1926.

Son œuvre, figuratif et violemment coloré, pouvant évoquer les formes échevelées de la sculpture baroque, représentant naïades, tritons et de nombreux animaux eut un très grand succès, sans lui permettre vraiment de mener une carrière internationale. Jean-René Gauguin dit à plusieurs reprises que son nom avait freiné une telle reconnaissance à cause de l’immense renommée de son père. Pourtant, son œuvre profondément original en fait un artiste majeur qu’il faut redécouvrir.

Crédits © A. Leprince © ADAGP Paris 2014 - Jean René Gauguin, Antilope sabre tête levée, 1919 Bronze patiné et doré — Collection Jørgen L. Dalgaard

La plupart de ses sculptures et céramiques sont conservées dans des collections publiques et privées danoises, mais depuis peu, quelques collectionneurs français ont acquis des pièces majeures présentées à l’occasion de cette exposition aux côtés de nombreux prêts en provenance du Danemark, de la Manufacture de Sèvres et de La Piscine. Lire ici


Crédits © A. Leprince © ADAGP Paris 2014 - Jean René Gauguin, L’Enlèvement d’Europe, 1925 Faïence émaillée

Crédits © A. Leprince © ADAGP Paris 2014 - Jean-René Gauguin, Cavalier de cirque sur cheval, années 1910 Bronze patiné et socle en bois — Collection Jørgen L. Dalgaard

mardi 20 mai 2014

Envie...

Pour mon quatre heures, j'avais envie d'une tarte aux fraises comme celle-ci mais... nos envies ne sont pas toujours satisfaites comme on voudrait. Alors, ça sera pour la prochaine fois, je l'espère. Vous ne le savez sûrement pas, je suis gourmand de...

Crédits ici

Festival International des Jardins de Chaumont sur Loire

Festival International des Jardins de Chaumont sur Loire, en ce moment jusq'au 02 novembre 2014...
Ce 23ème Festival International des Jardins a pour thème les « Jardins des péchés capitaux
Depuis 1992, le Festival International des Jardins constitue un panorama étonnant de l'état de la création paysagère dans le monde.

En 22 saisons, près de 580 jardins ont été créés, prototypes des jardins de demain. A la fois mine d'idées et pépinière de talents, le Festival redynamise l'art des jardins et intéresse le public et la profession en présentant de nouveaux fleurissements, de nouveaux matériaux, des idées et des approches novatrices.

La diversité, la créativité et la qualité des projets ont contribué à établir la réputation mondiale du Festival qui est devenu un rendez-vous incontournable pour la présentation des travaux d'une nouvelle génération de paysagistes, d'architectes, de scénographes ou de jardiniers...

A côté du Festival, le Vallon des Brumes, le Jardin potager, le Jardin pédagogique et les jardins interstitiels proposent au public des jardins expérimentaux permanents évoluant au fil des saisons.
Le nouveau Parc des Prés du Goualoup (10 hectares) accueille désormais des jardins pérennes liés aux grandes civilisations. Lire ici


Crédits E Sander - Festival International des Jardins de Chaumont sur Loire

vendredi 16 mai 2014

La Bretagne...

La Bretagne, j'y ai passé quelques jours il y a peu de temps. J'aime cette région pour l'effort sans cesse déployé pour la mise en valeur de son patrimoine naturel, culturel, architectural et culinaire. Agréable escapade avec des temps forts, des moments de rigolade et du bon temps passé entre amis, mais aussi un tout petit bémol ( chut ! c'est notre secret) qui n'entrave en rien la qualité de ce séjour. Une attitude assez surprenante et décevante qui a nécessité une mise au point ? Oui, assurément pour normaliser « nos besoins existentiels » !
En y pensant, je me souviens de cette phrase de François Mauriac : « Nous méritons toutes nos rencontres. Elles sont attachées à notre destinée et ont une signification qu'il nous appartient de déchiffrer ».
En attendant de découvrir d'autres horizons, je vous confie quelques clichés de cette Bretagne que j'aime particulièrement.










Crédits Baudouin N'G - Escapade en Bretagne, mai 2014

mercredi 14 mai 2014

Martial Raysse : Exposition au Centre Pompidou

Martial Raysse : Exposition au Centre Pompidou du 14 mai jusqu'au 22 septembre 2014...
Le Centre Pompidou consacre une rétrospective inédite à Martial Raysse, l’un des plus importants artistes français vivant. Elle présente toute la richesse et la variété de l’œuvre de cet artiste visionnaire, à la trajectoire fascinante et singulière, depuis ses premières créations des années 1960 à celles d’aujourd’hui.

Crédits Don de la Scaler Foundation en 1995 Centre Pompidou, musée national d’art moderne Photo : Philippe Migeat / Centre Pompidou, MNAM-CCI / Dist. RMN-GP © Adagp, Paris 2014 - Martial Raysse, La grande odalisque, 1964

Célèbre pour les œuvres iconiques de sa période Pop, Martial Raysse a multiplié les innovations, notamment par l’utilisation inédite des néons et du film au sein de ses peintures. Dans les années 1980, il bouleverse sa pratique artistique et engage une refonte radicale de la peinture et de la sculpture, expérimentant sans relâche, jusque dans ses travaux les plus actuels, pour certains, encore jamais montrés..

Rassemblant plus de 200 œuvres — peintures, sculptures, films, photographies et dessins, l’exposition propose pour la première fois au public une généreuse traversée de cinquante ans de création. Des années soixante à aujourd’hui, l’exposition montre les œuvres emblématiques de chacune des périodes qui rythment le parcours de Martial Raysse.

Crédits Pinault Collection © Adagp, Paris 2014 - Martial Raysse, Miss Bagdad, 2003

Durant sa période Pop, puis avec les tableaux « à géométrie variable », l’artiste innove en introduisant dans sa peinture des objets de consommation courante et revisite avec insolence et virtuosité les archétypes féminins popularisés par la publicité comme par les maîtres de la peinture classique. Il proclame alors : « Les Prisunic sont les nouveaux musées de l’art moderne ». Dès cette époque, il se signale comme l’un des artistes internationaux les plus inventifs. Son œuvre connaît un rapide succès en France, où il est l’un des plus jeunes parmi le groupe des Nouveaux Réalistes réunis par Pierre Restany, puis à New York et à Los Angeles où il réside et se lie avec les artistes du Pop art.

L’exposition présente ensuite les expérimentations des « années chamaniques » qui s’engagent au tournant des années 1970 avec les assemblages Coco Mato et les peintures Loco Bello inspirées par les pratiques artistiques collectives et les rituels magiques. Parvenu au faîte de sa popularité, Martial Raysse opère durant ces années un renouvellement radical de sa pratique.

Il se place alors résolument en rupture et en retrait du monde de l’art et des courants dominants, notamment à travers la production de films expérimentaux, au caractère satirique et imprégnés de culture psychédélique.

La rétrospective montre ensuite l’ambitieuse production picturale engagée à la fin des années 1970 qui convoque l’héritage des plus grands maîtres du passé et se caractérise par l’invention d’une imagerie et mythologie personnelles, ancrées dans l’observation du quotidien. Les thèmes bucoliques inspirés par son environnement — Martial Raysse vit retiré à la campagne — croisent de nombreuses références mythologiques et littéraires. L’artiste expérimente diverses techniques picturales, en particulier la détrempe, renouant ainsi avec les pratiques les plus anciennes et les techniques les plus délicates à maîtriser.

Crédits Pinault Collection Photo : Arthus Boutin © Adagp, Paris 2014 - Martial Raysse, Poissons d’avril, 2007

Enfin, aux côtés de sculptures et de films récents, l’exposition présente l’ensemble des tableaux de très grands formats produits depuis les années 1990, « fresques » animées proposant des visions allégoriques de l’humanité au caractère souvent carnavalesque. Parmi ces peintures spectaculaires sont exposées : Le Carnaval à Périgueux, 1992, Le jour des roses sur le toit, 2005, Poissons d’avril, 2007, Ici Plage, comme ici bas, 2012.

Tout au long de ce parcours, comme autant de points d’orgue et de moments forts, sont présentés les grands environnements que l’artiste réalise au cours de sa carrière : Raysse Beach, réalisé en 1962 pour l’exposition Dylaby au Stedelijk Museum d’Amsterdam, Oued Laou conçu pour le Musée d’art moderne de Munich en 1971, le projet La folie Antoine, ensemble de peintures créé pour une chapelle en 1999. Lire ici

Quelque part vers Lorris...

Quelques instants de bonheur ordinaire lors d'une promenade près d'un étang dans la forêt domaniale d'Orléans à Lorris. J'en ai profité pour me ressourcer, vider la tête et m'éloigner du germe des problèmes.





Crédits Baudouin N'G - Promenade forêt d'Orléans, Mai 2014
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