Dans moins de trois mois, chaque citoyen sera invité à exprimer son choix quant à l'avenir de notre pays en mettant dans l'urne, il faut l'espérer, le candidat qui montrera l’expression d’une véritable vision marquée à la fois par la sincérité, l’ambition et la raison.
« Oui, je suis candidat à l'élection présidentielle », a annoncé Nicolas Sarkozy mercredi soir, à la télévision, estimant que ne pas être candidat « serait comme un abandon de poste ».
Candidat de fait à sa succession, tout ce qu’il a dit ou n'a pas dit dans le cadre de ses fonctions et de ses déplacements avant cette annonce, prenait inévitablement la résonnance d’un discours de campagne. Ses opposants l’ont d’ailleurs bien compris.
Qui incarnera en 2012 cette alternative au cours des choses ? Le candidat issu des primaires du parti socialiste ou le président-candidat lui même qui érigerait en thème de sa campagne, non pas seulement sur le bilan de son action mais sa capacité à être le promoteur d'autres changements à en croire le slogan de sa campagne pour « une France forte ».
On verra le dimanche 6 mai 2012 au soir pour le verdict...
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