Pour cette journée consacrée à la femme, j'emprunte à mon autre blog (Femme femme femme) cet article que je confie une partie à Nibelle et Baudouin. Un clin d'oeil à cette femme peintre que j'aime particulièrement par ses oeuvres qui me parlent...
Née d’un père artiste, Elisabeth Vigée Le Brun décide à l’âge de 14 ans de consacrer sa vie à l’art. Formée par un peintre elle épouse en 1775 Jean-Baptiste-Pierre Le Brun, un marchand de tableau avisé qui fera beaucoup pour la carrière de sa femme. A partir de 1780 Elisabeth Vigée-Lebrun devient la portraitiste de la haute société, elle sympathise avec la reine Marie-Antoinette et fera d’elle plusieurs portraits qui se trouvent au musée de Versailles.
Madame Molé-Raymond de la Comédie Italienne, musée du Louvre
Vigée-Lebrun, Autoportrait avec un chapeau de paille vers 1783
Madame du Barry
Louise Marie Adeaide de Bourbon-Penthiève, duchesse d'Orléans, Châteaux de Versailles et Trianon
Portrait de Marie-Antoinette dit à la rose 1783
Comtesse de la Châtre, The Metropolitan museum of Art
Hyacinthe Gabrielle Roland later Marchioness Wellesley 1791
Comtesse Catherine Vassillievna Skavronskaia, dame d'honneur de l'Impératrice Catherine II, musée du Louvre
Antoinette-Elisabeth Marie d'Aguesseau, comtesse de Ségur, Châteaux de Versailles et Trianon
Portraitiste attitrée de la Reine Marie-Antoinette, Louise Elisabeth Vigée-Lebrun dut fuir la France à la Révolution et quitta Paris en 1789 pour se rendre successivement à Rome, Naples, Vienne, Saint-Petersbourg et Berlin. Les démarches de son mari, le marchand de tableaux Jean-Baptiste-Pierre Lebrun, et du peintre David lui permirent d'être rayée en 1802 de la 'liste des émigrés' et de pouvoir regagner Paris. Pendant son exil, Vigée-Lebrun fut reçue dans toutes les cours européennes. C'est à Vienne, en 1793, qu'elle apprit la nouvelle de l'exécution de Louis XVI et de son amie Marie-Antoinette.
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