Hier en fin d'après-midi, je discute avec mon ami Jean-Louis sur sa passion pour les beaux jardins. Dans son jardin un peu négligé par la saison mais toujours magnifique, on y respire l'air de la campagne, l'air de la vie. J'en conviens que je ne conçois pas une maison sans jardin.
Nous parlons aussi des maisons. J’ai souvent pensé à la tristesse des maisons qu’on doit vendre et qui ne sentiront plus le regard amoureux qui, un jour, les a élues. Ma maison rêvée ne doit pas avoir de barrière entre le dedans et le dehors pour profiter de la nature. Une maison lumineuse pour permettre d’exprimer ma passion pour le mobilier contemporain et pour laquelle mon regard serait encore plus amoureux que dans les précédentes maisons.
En Afrique, il n'y a aucun doute que je voudrais une grande case plantée dans la forêt équatoriale. La maison idéale n'est-elle pas celle qui comble plus des rêves que des besoins ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire