Depuis deux heures et demi ce matin, je ne dors pas. Les tiroirs de ma caboche, dans lesquels je range mes réflexions, remuent dans tous les sens. Je classe, trie et range. Le téléphone ne sonne pas, bien évidemment à cette heure là, tout le monde dort (presque).
J’ai pris une douche, puis un calmant. Je me suis remis en pyjama. Je me suis fait un bol de café. Mes yeux ne sont pas suffisamment curieux pour que je songe à la lecture matinale. Le programme de France Culture est agaçant ce matin. Je ferme la radio.
Je pense à mes proches, ceux qui sont dans le secret de mes textes, que j'aurai pu réveiller pour discuter de tout et de rien.
Comme c'est pénible d'être dans ces états...
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