J'aime la vie en société et je suis souvent entouré de gens sympathiques. Pour beaucoup d'entre eux, malgré la distance qui nous sépare, le téléphone et internet sont un moyen de rapprochement appréciable.
Je tiens fortement à la qualité de rapports que j'entretiens avec mes potes. Les rapports sont amicaux et cordiaux mais il suffit d'un rien pour que tout se gâte. La sincérité reste le lite motive de la durée de mes relations et la prudence est un moyen idéal pour éviter les malentendus.
Pour ma part, j'aime avoir l'esprit libre. Je dois dire que je n’aime pas les arènes et même si je sais combattre, je ne le fais que rarement.
Ce n’est ni dans ma façon de faire ni dans mon caractère et encore moins dans ma philosophie de la vie. A mes yeux la violence, fut-elle seulement verbale, ne doit être que l’ultime recours lorsque toutes les autres solutions ont été épuisées. Au surplus, je doute que les affrontements à mort puissent avoir une quelconque vertu intellectuelle.
Mon éducation me fait penser à ce moment de la messe où les fidèles se tournent les uns vers les autres pour se souhaiter "La Paix du Christ". C'est le moment de tenter au travers d’un regard et d’un sourire, d’une poignée de main ou d’une accolade, de faire passer un peu d’amour inconditionnel. Le moment propice de se souhaiter tout bonnement "La Paix"
Crédit photo Dave Michaels
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire