Je constate, avec tristesse, l’accélération des dégradations de l'ambiance qui s’offre à la vue du public depuis la rumeur honteuse et irresponsable d'une personne (et quelle personne ?) sur la décision de faire participer les associations du village aux frais aidant au renouvellement des biens de l'office de tourisme de Nibelle.
Les biens que tout le monde est heureux de se servir et qui serviront encore de longues années si tout le monde en prend soin.
Rumeur chuchotée mais néanmoins entendue, lancée ensuite hors des frontières de Nibelle et bien avant que le courrier d'information de ladite décision ne soit distribué à ses destinataires. C’est à proprement parler consternant.
Les rumeurs, même quand elles ne touchent pas ma vie privée, ont toujours été une frustration pour moi. J’ai exprimé mon sentiment alarmé lors de mon entretien avec le maire, Gérard Rousseau. Le sujet est trop grave pour qu’il ne concerne pas la municipalité à son niveau le plus responsable.
Je n’aime pas l’idée que les contestataires de la décision de notre association voudraient sa peau quand ils mettent en cause son action. Action que j’ai, en l’occurrence, sans doute mal expliqué ou plutôt manqué l’opportunité de le faire, encore que je sois persuadé que quelqu'un aurait posé de vraies questions pour que j'explique l'incompréhension.
En fait ce qui s’exprime dans ce débat, c’est la difficulté bien française d'accepter des choses qui sont évidentes sans râler parce que c'est l'habitude.
Sans aller dans une conviction religieuse, j'aime beaucoup cet enseignement de Jésus qui demande que la douceur soit opposé à la force, la patience à la brutalité, le pardon à la vengeance.
Pour éviter bien des malentendus et des confusions, nombreux sont des présidents d'association de Nibelle qui sont venus me rencontrer, me serrer la main pour discuter sur le sujet et ont compris la légitimité de la démarche de notre association.
Comme quoi parler est une bonne chose. Échanger le dos tourné et par le biais de la rumeur est une vraie bêtise. Ainsi, je clos cette triste parenthèse.
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