Hier soir, j'étais quasi aphone. Une grosse fatigue ! Je craignais une grippe et pris la précaution d’annuler quelques activités dont ma présence à la répétition de la chorale. Ma pensée était bien sûr vers tous les choristes de la Villanelle de Dadonville, à qui je dédie ce "Il bianco e dolce cigno" que les connaisseurs apprécieront...
Il bianco e dolce cigno cantando more
ed io piangendo giungo al fin del viver mio.
Strana e diversa sorte ch'ei more sconsolato
ed io moro beato. Morte che nel morire
m'empie di gioia tutto e di desire.
Se nel morir altro dolor non sento
di mille mort'il dì sarei contento.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire