"D'un simple déclic, par une simple intuition, Jean-Marie Périer a fixé le rêve pour toujours..." Patrick Modiano
À la fin des années cinquante, le jeune photographe ne sait pas encore qu’il débute sa carrière avec le futur fondateur du premier groupe de presse mondial, Daniel Filipacchi. En 1962, la revue "Salut les Copains" sort dans les kiosques, un magazine pour des jeunes fait par des jeunes, une révolution dans le monde des médias français.
Jean-Marie, alors à peine âgé de vingt ans, devient le photographe de référence. Johnny, Sylvie Vartan, Dutronc, Françoise Hardy, France Gall, les Beatles ou les Stones… l’accueillent comme un ami. Ils lui font confiance. Toutes ses mises en scènes et folies sont acceptées. "Les problèmes d’image et d’égo n’existaient pas, je garde le souvenir d’une époque de gaieté et de liberté dont je m’efforce de ne pas avoir la nostalgie".
Dans Polka Magazine, François Weyergans dit de lui : "Il est le Proust des yé-yé"

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