Chaque année se pose la question des étrennes. On donne ou on ne donne pas ? Un peu, beaucoup ou pas du tout ?
Pompiers, facteurs, gardiens d'immeuble, associations sportives, éboueurs, femmes de ménage ou baby-sitters vont recevoir une enveloppe ou un petit cadeau en guise de remerciement pour les services rendus non rémunérés. Une tradition vieille de l'époque romaine où l'on offrait des figues et du miel à ceux que l'on aimait.
Si elle a tendance à se perdre en famille depuis que Noël est la fête des cadeaux, la coutume des étrennes reste vivace envers ceux qui servent la communauté. Pompiers, facteurs, éboueurs sollicitent chaque année un petit geste de notre part en remerciement de leur dévouement.
Mais voilà, à Paris, selon un avis préfectoral, les éboueurs, les égoutiers, bref les agents municipaux n’ont plus le droit d’arrondir fin de mois et d’année de cette manière.
Qu'en est-il à la campagne, et qui mérite vraiment nos étrennes ?
La crise, bien présente dans nos portefeuilles, va-t-elle modifier nos habitudes ?
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